Live auction - fjt_1041093 - VILLES DE BOURGOGNE Philippe Parigot, maire de Beaune 1658
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Alle Gewinngebote unterliegen einem Aufschlag von 18 % für Verkaufskosten.
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Type : Philippe Parigot, maire de Beaune
Datum: 1658
Metall : Silber
Durchmesser : 28 mm
Stempelstellung : 6 h.
Gewicht : 7,52 g.
Rand Lisse
Seltenheitsgrad : R2
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Patine hétérogène avec des taches d’oxydation et de l’usure sur les reliefs
N° im Nachschlagewerk :
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite EX. NIHILO. NIHIL. FIT.
Beschreibung Vorderseite Armes de Philippe Parigot : parti au 1: d'azur à une tige de pois d'argent mouvante d'un croissant de même, accompagnée en chef de 2 étoiles : au 2 : à une flamme.
Übersetzung der Vorderseite Rien ne peut naître de rien.
Rückseite
Titulatur der Rückseite MAGISTRATUS. ET. COMMUNITAS. BELNEN.
Beschreibung Rückseite La Vierge de Beaune portant l'enfant Jésus.
Übersetzung der Rückseite Les magistrats et la communauté de Beaune.
Kommentare
Superbe texte à http://www.beaune.fr/spip.php?article1161 , qui parle de notre personnage rencontrant le Roi :
Quand le Roi vient ensoleiller la ville
Le 19 novembre 2008, les Beaunois fêteront le 350ème anniversaire de la venue du Roi Soleil à BEAUNE. Quelques souvenirs...
Les échevins, lors d’un conseil extraordinaire le 14 novembre 1658, apprennent que le Roi Louis XIV qui doit se rendre à Lyon pour rencontrer Christine de France, duchesse de Savoie, a décidé de faire un arrêt dans notre ville le 19 novembre. Le cortège sera composé du Roi, de sa mère la reine Anne d’Autriche, de son frère le duc d’Anjou, de la Grande Mademoiselle, fille aînée du duc d’Orléans, du cardinal Mazarin, et de gens de la Cour. Il est prévu qu’ils fassent leur entrée par la porte Saint-Nicolas, qui sera décorée aux armes de Sa Majesté.
Le 19 novembre, trois compagnies d’infanterie attendent le Roi sur la plaine de la Maladière. L’une est dirigée par monsieur Pitois, alors avocat et échevin, la seconde par monsieur Gaignarre de Bessey, son subdélégué, et la dernière, celle des Enfants de la Ville, par monsieur Tissier, avocat. Elles accueillent Louis XIV en début d’après-midi par des louanges et le glorifient avant son entrée dans la ville par la porte Saint-Nicolas. Un grand nombre de notables beaunois s’est donné rendez-vous pour accueillir et acclamer le Roi comme il se doit. Il s’agit notamment du maire de Beaune, Philippe Parigot, des échevins, des avocats, des magistrats, de nombreux bourgeois. Les officiers du bailliage et les religieux de la collégiale Notre-Dame de Beaune complètent le cortège. Tous portent leurs plus belles robes, justifiant ainsi de leur qualité. Les clefs de la ville sont alors remises au Roi dans un sac de velours bleu ; il est de nouveau acclamé « Vive le Roi », au son des canons qui résonnent en son honneur.
Il est décidé que Sa Majesté logera chez le sieur Gilles Brunet (actuel hôtel Le Cep), la Reine chez le sieur Cocquille, le duc d’Anjou chez mademoiselle Delamare, et le cardinal chez le sieur Mill..
Quand le Roi vient ensoleiller la ville
Le 19 novembre 2008, les Beaunois fêteront le 350ème anniversaire de la venue du Roi Soleil à BEAUNE. Quelques souvenirs...
Les échevins, lors d’un conseil extraordinaire le 14 novembre 1658, apprennent que le Roi Louis XIV qui doit se rendre à Lyon pour rencontrer Christine de France, duchesse de Savoie, a décidé de faire un arrêt dans notre ville le 19 novembre. Le cortège sera composé du Roi, de sa mère la reine Anne d’Autriche, de son frère le duc d’Anjou, de la Grande Mademoiselle, fille aînée du duc d’Orléans, du cardinal Mazarin, et de gens de la Cour. Il est prévu qu’ils fassent leur entrée par la porte Saint-Nicolas, qui sera décorée aux armes de Sa Majesté.
Le 19 novembre, trois compagnies d’infanterie attendent le Roi sur la plaine de la Maladière. L’une est dirigée par monsieur Pitois, alors avocat et échevin, la seconde par monsieur Gaignarre de Bessey, son subdélégué, et la dernière, celle des Enfants de la Ville, par monsieur Tissier, avocat. Elles accueillent Louis XIV en début d’après-midi par des louanges et le glorifient avant son entrée dans la ville par la porte Saint-Nicolas. Un grand nombre de notables beaunois s’est donné rendez-vous pour accueillir et acclamer le Roi comme il se doit. Il s’agit notamment du maire de Beaune, Philippe Parigot, des échevins, des avocats, des magistrats, de nombreux bourgeois. Les officiers du bailliage et les religieux de la collégiale Notre-Dame de Beaune complètent le cortège. Tous portent leurs plus belles robes, justifiant ainsi de leur qualité. Les clefs de la ville sont alors remises au Roi dans un sac de velours bleu ; il est de nouveau acclamé « Vive le Roi », au son des canons qui résonnent en son honneur.
Il est décidé que Sa Majesté logera chez le sieur Gilles Brunet (actuel hôtel Le Cep), la Reine chez le sieur Cocquille, le duc d’Anjou chez mademoiselle Delamare, et le cardinal chez le sieur Mill..