E-auction 112-59645 - bpv_311669 - TRAIANUS DECIUS Tétradrachme syro-phénicien
Sie müssen angeschlossen sein und von cgb.fr genehmigt werden, um in einer E-Auktion teilzunehmen.Melden Sie sich an, um zu wetten..Die Kontobestätigungen sind innerhalb von 48 Stunden nach Ihrer Anmeldung gemacht.Warten Sie nicht bis die letzten zwei Tage vor dem Abschluss eines Verkaufs, um Ihre Registrierung abzuschließen. Klickend "BIETEN" verpflichten Sie sich vertraglich, diesen Artikel zu kaufen und Sie nehmen ohne Reserve die allgemeinen Verkaufsbedingungen für den e-auctions zu cgb.fr an.
Der Verkauf wird an der Zeit auf der Übersichtsseite angezeigt geschlossen werden. Angebote, die nach der Schließung Zeit empfangen sind, werden nicht gültig.
Bitte beachten Sie, dass die Fristen für die Einreichung Ihres Angebots auf unsere Server können variieren und es kann zur Ablehnung Ihres Angebots entstehen, wenn es in den letzten Sekunden des Verkaufs gesendet wird. Die Angebote sollen mit ganzer Zahl ausgeführt sein, Sie können Kommas oder des Punktes in Ihrem Angebot nicht erfassen. Bei Fragen klicken Sie hier, um einen Blick auf die FAQ E-Auktionen.
KEINE ANSCHAFFUNGSKOSTEN FÜR DIE KÄUFER.
KEINE ANSCHAFFUNGSKOSTEN FÜR DIE KÄUFER.
Schätzung : | 140 € |
Preis : | 59 € |
Höchstgebot : | 80 € |
Verkaufsende : | 08 Juni 2015 16:11:00 |
Bieter : | 10 Bieter |
Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: 249
Name der Münzstätte / Stadt : Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metall : Scheidemünze
Durchmesser : 28 mm
Stempelstellung : 6 h.
Gewicht : 11,02 g.
Seltenheitsgrad : R3
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Exemplaire à minime usure mais une faille dans le métal n’a pas supporté les chocs et l’exemplaire est vendu avec les morceaux...
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Cet exemplaire, qui est le 0503_001 de la base TSP, illustre le type dans le Prieur
Vorderseite
Beschreibung Vorderseite Buste lauré, drapé et cuirassé de Trajan Dèce à droite, vu de trois quarts en arrière (A*2), un globule sous le buste.
Legende des Averses AUTOK K GAI ME KUIN DEKKIOS SEB.
Übersetzung der Vorderseite (L’empereur césar Caius Messius Quintus Dèce auguste).
Rückseite
Titulatur der Rückseite S C À L’EXERGUE.
Beschreibung Rückseite Aigle debout à gauche sur une palme, les ailes déployées, tête à gauche et queue à droite, tenant une couronne feuillée dans son bec.
Legende des Reverses : DHMARC EX OUSIAS.
Übersetzung der Rückseite (Revêtu de la puissance tribunitienne / avec l’accord du Sénat d’Antioche).
Kommentare
Les quatre exemplaires connus proviennent tous de la même paire de coins.
Les premières émissions de Trajan Dèce se définissent par la légende sans le nom de Trajan ; nous savons que prendre ce surnom fut l’un des premiers actes officiels de Dèce, une fois celui-ci arrivé à Rome, et il faut en déduire que tout ce qui fut frappé sans la mention Trajan est antérieur à cette décision.
Compte tenu de l’importance relative des frappes, on peut penser qu’Antioche, en tous cas les autorités provinciales, firent immédiatement allégeance au nouvel empereur dès sa proclamation et le décès des deux Philippe.
On remarque à ce propos la disparition immédiate de l’exergue ANTIOXIA et le retour à la palme, l’usage avant le troisième consulat de Philippe. Faut-il en déduire que le financement des émissions changea et retourna aux autorités provinciales alors qu’elles auraient été assumées par la ville durant les 3e et 4e consulats de Philippe ? Il faut se rappeler que le frère de Philippe, Priscus, installé à Antioche pendant tout le règne avec tous les pouvoirs (y compris le titre de Rector Orientis !) avait peut-être obligé la ville à financer les émissions monétaires ; la source de son pouvoir disparue (on ignore sa fin) on peut imaginer que la ville se débarrassa du fardeau qui revint donc aux nouvelles autorités provinciales, trop heureuses de manifester leur allégeance au nouveau pouvoir par des émissions monétaires à son effigie.
La structure de cette première émission témoigne aussi d’une confusion certaine. La presque totalité des types sont extrêmement rares, on découvre une cinquième officine, qui n’est pas connue sous Philippe, mais on ne connaît aucune pièce pour les 2e et 3e officine, un aigle à gauche avec tête et queue à droite fait son apparition, On trouve même une variante d’orthographe (un seul K à Dekkioc) qui deviendra ensuite la norme.
À propos des officines, il faut noter que la plupart des frappes ne portent pas de point d’officine, ce qui renforce l’hypothèse d’une série pour Philippe sans points d’officine.
Il est certain que le temps fera apparaître de nouveaux types qui viendront compléter cette série particulièrement difficile.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, quatre exemplaires sont maintenant répertoriés pour ce type, aucun en musée.
Les premières émissions de Trajan Dèce se définissent par la légende sans le nom de Trajan ; nous savons que prendre ce surnom fut l’un des premiers actes officiels de Dèce, une fois celui-ci arrivé à Rome, et il faut en déduire que tout ce qui fut frappé sans la mention Trajan est antérieur à cette décision.
Compte tenu de l’importance relative des frappes, on peut penser qu’Antioche, en tous cas les autorités provinciales, firent immédiatement allégeance au nouvel empereur dès sa proclamation et le décès des deux Philippe.
On remarque à ce propos la disparition immédiate de l’exergue ANTIOXIA et le retour à la palme, l’usage avant le troisième consulat de Philippe. Faut-il en déduire que le financement des émissions changea et retourna aux autorités provinciales alors qu’elles auraient été assumées par la ville durant les 3e et 4e consulats de Philippe ? Il faut se rappeler que le frère de Philippe, Priscus, installé à Antioche pendant tout le règne avec tous les pouvoirs (y compris le titre de Rector Orientis !) avait peut-être obligé la ville à financer les émissions monétaires ; la source de son pouvoir disparue (on ignore sa fin) on peut imaginer que la ville se débarrassa du fardeau qui revint donc aux nouvelles autorités provinciales, trop heureuses de manifester leur allégeance au nouveau pouvoir par des émissions monétaires à son effigie.
La structure de cette première émission témoigne aussi d’une confusion certaine. La presque totalité des types sont extrêmement rares, on découvre une cinquième officine, qui n’est pas connue sous Philippe, mais on ne connaît aucune pièce pour les 2e et 3e officine, un aigle à gauche avec tête et queue à droite fait son apparition, On trouve même une variante d’orthographe (un seul K à Dekkioc) qui deviendra ensuite la norme.
À propos des officines, il faut noter que la plupart des frappes ne portent pas de point d’officine, ce qui renforce l’hypothèse d’une série pour Philippe sans points d’officine.
Il est certain que le temps fera apparaître de nouveaux types qui viendront compléter cette série particulièrement difficile.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, quatre exemplaires sont maintenant répertoriés pour ce type, aucun en musée.