fco_320393 - MAROKKO - FRANZÖZISISCH PROTEKTORAT Essai lourd de 5 Dirhams Moulay Youssef I an 1331, aluminium, 5 grammes 1913 Paris
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Preis : 650.00 €
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Type : Essai lourd de 5 Dirhams Moulay Youssef I an 1331, aluminium, 5 grammes
Datum: 1913
Name der Münzstätte / Stadt : Paris
Metall : Aluminium
Durchmesser : 32,05 mm
Stempelstellung : 6 h.
Gewicht : 5 g.
Rand lisse
Seltenheitsgrad : R3
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Léger voile au centre du revers et traces de manipulation
N° im Nachschlagewerk :
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite EN ARABE, AU CENTRE : DEMI-RIAL DE MOULAY YOUSSEF, LE NOBLE, ESSAI ; DANS LES CANTONS DE L’ÉTOILE : QU’IL SOIT ACCOMPAGNÉ PAR LA JOIE, LA CHANCE, L’AMOUR DE SON PEUPLE, LA GLOIRE, ET CE, POUR TOUJOURS.
Beschreibung Vorderseite Sceau de Salomon cerclé en son centre.
Rückseite
Titulatur der Rückseite POUR VALOIR CE QUE DE DROIT POUR CINQ DIRHAMS COURANTS / FRAPPÉ EN L’ANNÉE 1331 À PARIS / ESSAI.
Beschreibung Rückseite Double cercle et arabesques.
Kommentare
Nous ignorons quel est le poids de l’exemplaire de référence et si ces essais en aluminium étaient vraiment destinées à ce type.
On notera sur cet essai que les coins utilisés furent particulièrement mal polis et ont imprimé avec le type d’innombrables petites traces de rayures en relief.
Nous avons souvent inversé les illustrations du livre de Jean Lecompte avers/revers car le Maroc étant un protectorat, la puissance émettrice, théoriquement placée à l’avers, est le roi du Maroc et non la République française.
Pour cette pièce, qui ne mentionne pas de statut politique particulier ni n’utilise le système inspiré de celui des Français (qui n’apparaît qu’en 1339 A.H., on devrait certainement placer à l’avers le nom et les titres du roi. On notera que dans ce cas l’avers porte également la valeur faciale, le revers une autre expression de la valeur faciale, le lieu et l’année de frappe.
Malheureusement, entre les intentions des responsables marocains, l’exécution par la Monnaie de Paris (nous avons vu que l’auteur des coins ne connaissait pas la langue arabe) et les traditions locales éventuellement différentes, il est très difficile de trancher.
On notera sur cet essai que les coins utilisés furent particulièrement mal polis et ont imprimé avec le type d’innombrables petites traces de rayures en relief.
Nous avons souvent inversé les illustrations du livre de Jean Lecompte avers/revers car le Maroc étant un protectorat, la puissance émettrice, théoriquement placée à l’avers, est le roi du Maroc et non la République française.
Pour cette pièce, qui ne mentionne pas de statut politique particulier ni n’utilise le système inspiré de celui des Français (qui n’apparaît qu’en 1339 A.H., on devrait certainement placer à l’avers le nom et les titres du roi. On notera que dans ce cas l’avers porte également la valeur faciale, le revers une autre expression de la valeur faciale, le lieu et l’année de frappe.
Malheureusement, entre les intentions des responsables marocains, l’exécution par la Monnaie de Paris (nous avons vu que l’auteur des coins ne connaissait pas la langue arabe) et les traditions locales éventuellement différentes, il est très difficile de trancher.