E-auction 630-626388 - JETONS PUBLICITAIRES LE PICOTIN APÉRITIF sur 10 Centesimi Royaume d’Italie Victor Emmanuel II 1866
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2025/05/12 19:50:00
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630
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Type : LE PICOTIN APÉRITIF sur 10 Centesimi Royaume d’Italie Victor Emmanuel II
Datum: 1866
Name der Münzstätte / Stadt : Milan
Metall : Kupfer
Durchmesser : 30 mm
Stempelstellung : 6 h.
Gewicht : 9,51 g.
Rand lisse
Punze : sans poinçon
Seltenheitsgrad : R1
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Patine hétérogène avec des traces d’usure, coups et rayures. Taches d’oxydation
N° im Nachschlagewerk :
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite VITTORIO EMANUELE II RE D’ITALIA // LE PICOTIN APERITIF.
Beschreibung Vorderseite Légende circulaire et tête de profil à gauche sur laquelle est gravé la légende publicitaire.
Rückseite
Titulatur der Rückseite 10 / CENTESIMI / 1886.
Beschreibung Rückseite Valeur faciale entourée d'une couronne végétale et surmontée d'une étoile.
Kommentare
Ce type de pièce publicitaire a été largement utilisé, dans notre exemple par cette société.
Concernant la surcharge, on trouve sur le net à l’adresse http://cgma.wordpress.com/2009/04/04/picotin-1/
LE PICOTIN - APERITIF A BASE D’AVOINE et d’Oranges fraîches F. MOUREAUX & Cie – ALFORT (Seine)
Je n’ai jamais bu de « Picotin » et j’ignorais totalement l’existence d’un apéritif à base d’avoine, j’en étais restée à la traditionnelle nourriture pour chevaux, voilà qui m’a ouvert de nouveaux horizons…De plus, qui aurait été fabriqué par une société Maisonnaise… ?
Après quelques recherches sur la toile, j’ai appris en effet que Fernand Moureaux, propriétaire de la distillerie Rousseau & Laurents s’installe à Maisons-Alfort en 1885 et souhaite concurrencer avec son apéritif « amer » les marques en vogue à cette époque.
En fait, c’est l’ancêtre de la « Suze », apéritif bien connu.
On notera que contrairement à Kohler qui était suisse, et n’éprouvait aucune gène à surfrapper des monnaies françaises, tant au type de la République qu’à celui de Napoléon III, les fabricants français de ce type de publicité sur pièce, comme le Picotin Apéritif mettront en revanche un point d’honneur à ne surcharger que des monnaies étrangères.
Concernant la surcharge, on trouve sur le net à l’adresse http://cgma.wordpress.com/2009/04/04/picotin-1/
LE PICOTIN - APERITIF A BASE D’AVOINE et d’Oranges fraîches F. MOUREAUX & Cie – ALFORT (Seine)
Je n’ai jamais bu de « Picotin » et j’ignorais totalement l’existence d’un apéritif à base d’avoine, j’en étais restée à la traditionnelle nourriture pour chevaux, voilà qui m’a ouvert de nouveaux horizons…De plus, qui aurait été fabriqué par une société Maisonnaise… ?
Après quelques recherches sur la toile, j’ai appris en effet que Fernand Moureaux, propriétaire de la distillerie Rousseau & Laurents s’installe à Maisons-Alfort en 1885 et souhaite concurrencer avec son apéritif « amer » les marques en vogue à cette époque.
En fait, c’est l’ancêtre de la « Suze », apéritif bien connu.
On notera que contrairement à Kohler qui était suisse, et n’éprouvait aucune gène à surfrapper des monnaies françaises, tant au type de la République qu’à celui de Napoléon III, les fabricants français de ce type de publicité sur pièce, comme le Picotin Apéritif mettront en revanche un point d’honneur à ne surcharger que des monnaies étrangères.