v37_1237 - Faux en platine de 20 francs or Napoléon III, tête nue 1862 Paris F.531/1 var.
MONNAIES 37 (2009)
Startpreis : 250.00 €
Schätzung : 500.00 €
Erzielter Preis : 360.00 €
Anzahl der Gebote : 4
Höchstgebot : 360.00 €
Startpreis : 250.00 €
Schätzung : 500.00 €
Erzielter Preis : 360.00 €
Anzahl der Gebote : 4
Höchstgebot : 360.00 €
Type : Faux en platine de 20 francs or Napoléon III, tête nue
Datum: 1862
Name der Münzstätte / Stadt : Paris
Prägemenge : ---
Metall : Platin
Der Feingehalt beträgt : 900 ‰
Durchmesser : 21,43 mm
Stempelstellung : 6 h.
Gewicht : 6,32 g.
Rand en relief : ***** DIEU * PROTEGE * LA * FRANCE
Seltenheitsgrad : R3
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Usure régulière de circulation sur l’ensemble des reliefs. Graffiti derrière la tête et au-dessus de la couronne au revers. Très bel exemplaire pour ce type souvent très mal frappé et conservé. Bon centrage et belle frappe
N° im Nachschlagewerk :
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite NAPOLEON III - EMPEREUR.
Beschreibung Vorderseite Tête nue de Napoléon III à droite ; au-dessous (différent) BARRE (différent).
Rückseite
Titulatur der Rückseite EMPIRE FRANÇAIS// 20/ FRANCS/ 1862// A.
Beschreibung Rückseite Valeur faciale, en deux lignes dans le champ, au-dessus du millésime, dans une couronne composée de deux branches de laurier nouées en bas ; sous le nœud, la lettre d'atelier.
Kommentare
Le son de la pièce sur le marbre est tout à fait crédible, le travail de graveur est remarquable ce qui est avéré par l’usure de circulation. La tranche est parfaitement lisible. La particularité de ce faux vient du fait que le millésime 1862 n’existe pas pour le type F.531. En effet, les dernières pièces de 20 francs Napoléon III tête nue ont été frappées en 1860. Le millésime 1862 correspond au type à la tête laurée (F.532). Ce faux est à rapprocher de celui de 20 francs Napoléon III tête laurée 1854 BB commentée dans le Bulletin Numismatique n° 21. Comme le 20 francs Coq de 1915 publié en son temps dans le Forum des Amis du Franc, on constate que les faussaires avaient une étonnante insouciance des millésimes « authentiques » d’autant plus surprenante qu’un faux monnayeur de l’époque écopait du bagne, millésimes « vrais » ou « faux » : l’erreur est donc involontaire et la monnaie d’autant plus sympathique à collectionner !.