E-auction 171-106678 - fjt_403505 - DIJON (MAIRES DE ... et divers) Marc-Antoine Millotet 1653
Sie müssen angeschlossen sein und von cgb.fr genehmigt werden, um in einer E-Auktion teilzunehmen.Melden Sie sich an, um zu wetten..Die Kontobestätigungen sind innerhalb von 48 Stunden nach Ihrer Anmeldung gemacht.Warten Sie nicht bis die letzten zwei Tage vor dem Abschluss eines Verkaufs, um Ihre Registrierung abzuschließen. Klickend "BIETEN" verpflichten Sie sich vertraglich, diesen Artikel zu kaufen und Sie nehmen ohne Reserve die allgemeinen Verkaufsbedingungen für den e-auctions zu cgb.fr an.
Der Verkauf wird an der Zeit auf der Übersichtsseite angezeigt geschlossen werden. Angebote, die nach der Schließung Zeit empfangen sind, werden nicht gültig.
Bitte beachten Sie, dass die Fristen für die Einreichung Ihres Angebots auf unsere Server können variieren und es kann zur Ablehnung Ihres Angebots entstehen, wenn es in den letzten Sekunden des Verkaufs gesendet wird. Die Angebote sollen mit ganzer Zahl ausgeführt sein, Sie können Kommas oder des Punktes in Ihrem Angebot nicht erfassen. Bei Fragen klicken Sie hier, um einen Blick auf die FAQ E-Auktionen.
KEINE ANSCHAFFUNGSKOSTEN FÜR DIE KÄUFER.
KEINE ANSCHAFFUNGSKOSTEN FÜR DIE KÄUFER.
Schätzung : | 18 € |
Preis : | 8 € |
Höchstgebot : | 8 € |
Verkaufsende : | 25 Juli 2016 18:50:30 |
Bieter : | 6 Bieter |
Type : Marc-Antoine Millotet
Datum: 1653
Metall : Kupfer
Durchmesser : 28 mm
Stempelstellung : 6 h.
Rand lisse
N° im Nachschlagewerk :
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite MARC. ANT. MILLOTET. CON. DEST. ADV. G. VIC. MAIEVR. DE. DIION.
Beschreibung Vorderseite Armes de Dijon dans une couronne de laurier.
Rückseite
Titulatur der Rückseite NON. EGO. PERFIDVM. DIXI. SACRAMENTVM. 1653..
Beschreibung Rückseite Armes lambrequinées.
Kommentare
Marc-Antoine Millotet est réélu le 21 juin 1652. Pour le revers, nous reproduisons le manuscrit de Millotet cité par Amanton à nouveau : “Ma seconde magistrature fut après la délivrance de MM. les princes, où la plupart des Bourguignons déjà cités coururent à Paris pour s’excuser et m’accuser ; mais M. le Prince ne voulut pas recevoir leurs excuses, ne se pouvant fier en leurs paroles pour la seconde guerre civile qu’il méditait ; c’est pourquoi plusieurs s’engagèrent par écrit et par serment, ce qui me fit prendre pour devise : Non ego perfidum dixi sacramentum, ce que j’avais tiré d’Horace”
Les maires de Dijon
Dès l’époque de la naissance de la féodalité, la ville de Dijon possédait un maire et en général vingt magistrats municipaux, ou échevins. Ces magistrats sont confirmés en 1187, lorsqu’une charte de commune est accordée par le duc Hugues III. En 1192, pour la première fois, le maire dijonnais est élu.
A la fin du XIIIe siècle, ce maire prend le titre de vicomte maïeur, confirmé en 1477-1479 par Louis XI, qu’il gardera jusqu’en 1789. Depuis la fin du XVe siècle (1491), la charge de vicomte maïeur est anoblissante ainsi que celle d’échevin à compter du XVIe siècle. Le vicomte maïeur avait le droit de haute, moyenne et basse justice, le droit de scel et de visite. Les clefs de la ville lui sont confiées et il dirige les archers ainsi que les compagnies des sept quartiers, cette fonction militaire étant importante jusqu’au XVIIe siècle.
Fonction élective, le vicomte maïeur est élu par les habitants, ni mendiants, ni étrangers, qui payent la taille, en général la veille de la Saint-Jean. Cette élection a lieu sur le parvis de l'église saint Philibert. A partir de 1669, il est permis au maire de porter "une robe longue de satin plein, de couleur violet, doublée de satin rouge cramoisi, comme le prévôt des marchands de Lyon, avec chaperon de même étoffe et couleur bordée d’hermine" afin de se distinguer des habitants.
En 1692, la fonction de vicomte maïeur est transformée en office héréditaire tandis que l’élection n’est plus alors qu’une confirmation du choix royal fait par le gouverneur au nom du roi.
Voir leur liste complète à http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_maires_de_Dijon.
Les maires de Dijon
Dès l’époque de la naissance de la féodalité, la ville de Dijon possédait un maire et en général vingt magistrats municipaux, ou échevins. Ces magistrats sont confirmés en 1187, lorsqu’une charte de commune est accordée par le duc Hugues III. En 1192, pour la première fois, le maire dijonnais est élu.
A la fin du XIIIe siècle, ce maire prend le titre de vicomte maïeur, confirmé en 1477-1479 par Louis XI, qu’il gardera jusqu’en 1789. Depuis la fin du XVe siècle (1491), la charge de vicomte maïeur est anoblissante ainsi que celle d’échevin à compter du XVIe siècle. Le vicomte maïeur avait le droit de haute, moyenne et basse justice, le droit de scel et de visite. Les clefs de la ville lui sont confiées et il dirige les archers ainsi que les compagnies des sept quartiers, cette fonction militaire étant importante jusqu’au XVIIe siècle.
Fonction élective, le vicomte maïeur est élu par les habitants, ni mendiants, ni étrangers, qui payent la taille, en général la veille de la Saint-Jean. Cette élection a lieu sur le parvis de l'église saint Philibert. A partir de 1669, il est permis au maire de porter "une robe longue de satin plein, de couleur violet, doublée de satin rouge cramoisi, comme le prévôt des marchands de Lyon, avec chaperon de même étoffe et couleur bordée d’hermine" afin de se distinguer des habitants.
En 1692, la fonction de vicomte maïeur est transformée en office héréditaire tandis que l’élection n’est plus alors qu’une confirmation du choix royal fait par le gouverneur au nom du roi.
Voir leur liste complète à http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_maires_de_Dijon.