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bpv_153701 - CARACALLA Tétradrachme syro-phénicien

CARACALLA Tétradrachme syro-phénicien fVZ
Nicht verfügbar.
Artikel auf unserem Online-Shop verkauft (2015)
Preis : 180.00 €
Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: 215-217
Name der Münzstätte / Stadt : Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metall : Scheidemünze
Durchmesser : 26,00 mm
Stempelstellung : 6 h.
Gewicht : 13,32 g.
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Bon centrage et bonne frappe, style caractéristique sans ambiguïté, très faible usure de circulation sur les lauriers et le ventre de l’aigle, patine grise
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Cet exemplaire, qui provient de la vente Hirsch 137, 1983 n° 197, est le 0244_009 de la base TSP

Vorderseite


Beschreibung Vorderseite Tête laurée de Caracalla barbu à droite, l’un des rubans de la couronne de laurier passant sur l’épaule.
Legende des Averses AUT. K. M. A. - ANTWNEINOS .SEB..
Übersetzung der Vorderseite (L’empereur césar Marc Aurèle Antonin auguste).

Rückseite


Beschreibung Rückseite Aigle à gauche, ailes dessinées de points écartées, tête et queue à droite, sur une corne d’abondance à gauche entourée de deux points, une étoile à six branches entre les pattes, et une couronne perlée de lauriers dans son bec.
Legende des Reverses : DHMARC EX UPATOSTOD.
Übersetzung der Rückseite (Revêtu de la puissance tribunitienne consul pour la quatrième fois).

Kommentare


Le Prieur 244 se caractérise, outre la présence de la corne d’abondance entre les pattes de l’aigle, par le style de l’aigle du revers, aux plumes traitées uniquement en petits points, En réalité un autre détail a été remarqué depuis la parution du Prieur : sur ce type, tous les exemplaires ont la corne d’abondance entourée de deux petits points, détail que l’on ne retrouve pas, ou très indistinctement, sur les autres variantes de la série à la corne d’abondance (Prieur 240 à 245).
À noter, Richard McAlee ne différencie par les styles et regroupe les Prieur 240 , 241, 242, 243 et 244 sous la seule référence 693.
La stabilité de leur position et de la position relative de la corne d’abondance (ici à six branches) fait immédiatement penser à une configuration astronomique ou astrologique.
En effet, nous connaissons déjà deux exemples certains de telles configurations dans les symboles des tétradrachmes.
Tout d’abord, les frappes commémoratives de la fin des travaux des grands temples de Baalbeck, vers 179/180 AD (Prieur 160 à 176 pour les émissions avec la tête de bélier, l’étoile et le foudre (Mercure, Vénus, Jupiter). Les temples étaient dédiés à ces trois divinités, la triade héliopolitaine.
Ensuite, les frappes de Hierapolis (Prieur 1193/1202) avec l’étoile Regulus dans la constellation du Lion.
Notre manque de connaissances en astrologie antique ne nous permet malheureusement pas d’identifier cette position astrologique mais il s’agit, dans la constellation du Capricorne (le mythe prétend que cette constellation est la divinisation de la chèvre Amalthée, nourrice de Jupiter, dont la corne cassée par l’enfant divin se transforma en corne d’abondance) d’une planète ou étoile principale (représentée par le point rayonnant) et deux étoiles secondaires (les deux points). Quoi et pourquoi, nous ne le saurons probablement jamais, de la même manière que l’on ignore pourquoi Hiérapolis utilisa une configuration astronomique comme symbole sur ses tétradrachmes (En réalité, si, et le R.P. Mouterde, auteur de l’interprétation, l’explique par la présence d’un bas-relief identique sur l’autel du grand temple de Jupiter à Hierapolis. Mais pourquoi cette configuration astrale dans ce temple et pourquoi à Hiérapolis, mystère).
Le graveur de ce type est spécifique et ne se retrouve pas ailleurs.
Ces frappes énigmatiques, dites émissions de guerre, sont classées par convenance à Antioche, tant par Bellinger que par Prieur, bien que tous deux considèrent que cette attribution est certainement fausse. La meilleure preuve est la disparition sur ces émissions du Delta Eta dans le champ de revers, spécifique à Antioche et que l’on y retrouve inchangé sous Macrin et Diaduménien. On pense donc à des ateliers militaires itinérants, suivant les légions et frappant à la demande. Ces émissions sont particulièrement intéressantes et mal connues, une recherche des liaisons de coins et une typologie des graveurs pourrait améliorer la connaissance des ateliers militaires à cette période.
Les caractéristiques communes de ces émissions de guerre sont un style peu recherché, des symboles nouveaux et difficiles à attribuer à un atelier particulier, souvent des graveurs répertoriés pour des ateliers bien connus où, en revanche, on ne trouve aucune émission de guerre. Souvent, des frappes de graveurs différents mais de symboles identiques ont été regroupées alors qu’une analyse des liaisons de coins montrera peut-être qu’il s’agit en fait de plusieurs séries nettement séparées.
On remarquera, à propos des émissions de guerre en général, qu’aucune n’est connue à l’effigie de Macrin, le contraire étant la règle pour pratiquement toutes les séries identifiées pour des villes. C’est une preuve supplémentaire que ces séries sont exclusivement liées à la guerre parthique, qui s’interrompt dès la prise du pouvoir par Macrin, et non à une ou des municipalités qui n’auraient pas encore été identifiées.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, cinquante-neuf exemplaires sont maintenant répertoriés dont, en musées, Paris (7), ANS (3), Boston (ex Gush Halav Hoard), Israel State Museum, Yale (2 ex Doura).

Historischer Hintergrund


CARACALLA

(27.05.196-08.04.217)

Augustus

Nach Getas Ermordung verfügte Caracalla die „damnatio memoriæ“ seines Bruders. Im Jahr 212 wurde die „Constitution Antoniniana“ verkündet. Alle Bewohner des Reiches wurden römische Bürger. Im folgenden Jahr unternahm er einen Feldzug in Germanien und errang viele Siege über die Deutschen, Iapygen und Goten. Er erhielt den Titel „Germanicus“. Das Ende der Herrschaft wurde im Jahr 215 durch die Währungsreform und die Gründung des Antoninianus markiert. Caracalla beginnt einen letzten Feldzug gegen die Parther. Er wird ermordet, nachdem er seine Vicennalia gefeiert hat.

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