fme_926548 - DRITTE FRANZOSISCHE REPUBLIK Paris 1878 - Centenaire de 1789
12.00 €
Menge
In den Warenkorb

Type : Paris 1878 - Centenaire de 1789
Datum: 1878
Name der Münzstätte / Stadt : 75 - Paris
Metall : Kupfer
Durchmesser : 30 mm
Stempelstellung : 12 h.
Graveur BARRE Jean-Jacques (1793-1855)
Gewicht : 12,24 g.
Rand lisse
Punze : sans poinçon
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Patine hétérogène avec des taches d’oxydation, notamment sur le revers . Présence de traces d’usure, coups et rayures, notamment sur la tranche
N° im Nachschlagewerk :
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite REPUBLIQUE FRANÇAISE À L’EXERGUE BRONZE CORNE / SUFFRAGE UNIVERSEL.
Beschreibung Vorderseite Tête à gauche de la république portant dans les cheveux un ruban marqué SUFFRAGE UNIVERSEL, signé BARRE .
Rückseite
Titulatur der Rückseite (FLEUR) ADMINISTRATION DES MONNAIES ET MEDAILLES // EXPOSITION / UNIVERSELLE / PARIS / 1878.
Beschreibung Rückseite Légende circulaire et en 4 lignes.
Kommentare
Les expositions universelles ont été créées pour présenter les réalisations industrielles des différentes nations. Elles représentaient la vitrine technologique et industrielle des participants, témoignant du progrès au cours de la révolution industrielle. La première exposition universelle s'est déroulée à Londres en 1851.
À l'origine, chaque pays disposait d'un espace réservé dans un pavillon central. À partir de 1867, des pavillons nationaux firent leur apparition. En principe, ils étaient attribués seulement s'il y avait des choses à présenter que le pavillon central ne pouvait accueillir. Ils ne tardèrent pas à se généraliser, les nations exposantes construisant des pavillons typiques de l'architecture de leurs pays.
La compétition était omniprésente dans les expositions universelles, et des concours permettaient aux plus méritants d'obtenir des médailles bénéficiant d'un certain prestige.
De nombreuses réalisations architecturales construites à l'occasion d'expositions universelles sont devenues par la suite des symboles des villes qui les ont abritées : la tour Eiffel à Paris, l'Atomium à Bruxelles, le Space Needle à Seattle, la Biosphère à Montréal.
Enfin, la tenue des expositions universelles a toujours été l'occasion de mettre en place des projets d'urbanisme : construction du métro de Paris en 1900 ou celui de Montréal en 1967, extension du métro de Lisbonne en 1998…
Voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Exposition_universelle .
À l'origine, chaque pays disposait d'un espace réservé dans un pavillon central. À partir de 1867, des pavillons nationaux firent leur apparition. En principe, ils étaient attribués seulement s'il y avait des choses à présenter que le pavillon central ne pouvait accueillir. Ils ne tardèrent pas à se généraliser, les nations exposantes construisant des pavillons typiques de l'architecture de leurs pays.
La compétition était omniprésente dans les expositions universelles, et des concours permettaient aux plus méritants d'obtenir des médailles bénéficiant d'un certain prestige.
De nombreuses réalisations architecturales construites à l'occasion d'expositions universelles sont devenues par la suite des symboles des villes qui les ont abritées : la tour Eiffel à Paris, l'Atomium à Bruxelles, le Space Needle à Seattle, la Biosphère à Montréal.
Enfin, la tenue des expositions universelles a toujours été l'occasion de mettre en place des projets d'urbanisme : construction du métro de Paris en 1900 ou celui de Montréal en 1967, extension du métro de Lisbonne en 1998…
Voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Exposition_universelle .