fme_445914 - DRITTE FRANZOSISCHE REPUBLIK Médaille de l’Académie de Dijon à Marcel Paupion
Nicht verfügbar.
Artikel auf unserem Online-Shop verkauft (2019)
Preis : 175.00 €
Artikel auf unserem Online-Shop verkauft (2019)
Preis : 175.00 €
Type : Médaille de l’Académie de Dijon à Marcel Paupion
Datum: n.d.
Name der Münzstätte / Stadt : 21 - Dijon
Metall : Silber
Durchmesser : 41,35 mm
Stempelstellung : 12 h.
Graveur MARTEAU François (1697-1757)
Gewicht : 38,9 g.
Rand lisse + Corne 1ARGENT
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Superbe médaille avec une agréable patine grise, plus sombre autour des reliefs
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite CERTAT TERGEMINIS TOLLERE HONORIBUS // ACADEMIA DIVIONENSIS / M DCC XL.
Beschreibung Vorderseite Minerve casquée, debout de face, tête relevée, regardant à droite ; la main gauche est appuyée sur l’écu de Dijon et la main droite élève trois couronnes ; à ses pieds, un miroir, un sablier et bâton d’Esculape.
Rückseite
Titulatur der Rückseite L’ACADÉMIE A PAUPION MARCEL.
Beschreibung Rückseite Légende en 4 ligne dans un médaillon entouré d’une couronne de lauriers.
Kommentare
François Marteau est signalé comme graveur en médailles lors de son contrat de mariage.
Selon http://www.academie-sabl-dijon.org/celebration/deces-de-marcel-paupion-peintre-et-sculpteur/
Né à Dijon le 19 décembre 1886, Marcel Paupion se forme à l’art et à la sculpture dans l’atelier de Désiré Piron, vieil artisan dijonnais. Il suit les cours d’Ernest Bouteiller à l’École des Beaux-Arts de Dijon. Boursier du Département, il est admis, en 1906, à l’École nationale des Beaux-Arts de Paris et entre dans l’atelier d’Antonin Mercié ; il fréquente également l’atelier d’un autre sculpteur, son compatriote, Paul Gasq. Paupion est récompensé par deux fois comme lauréat du Prix Roux (Prix de l’Institut), en 1912, avec sa figure décorative Froid, qui reçoit la même année une mention honorable au Salon des Artistes Français et, en 1913, pour son Chasseur primitif, récompensé par l’État au Salon de 1914. Il réalise le Monument à l’aviateur Hubert Latham (1883-1912), érigé en 1914 à Maillebois ( Eure-et-Loir).
Mobilisé dans un régiment d’infanterie, blessé devant Mulhouse dès août 1914, Paupion repart, puis est versé à la section camouflage. Il est titulaire de la Croix de Guerre et de la Médaille militaire. L’artiste travaille pendant la période du conflit : Delenda Germania, tête de poilu hurlant la charge et Souvenirs de Lorette, chien de guerre près du corps de son maître. En 1920, il présente une Pieta, remarquée par la critique et, en 1921, une Tête de Christ coloriée en taille directe. Paupion obtient la commande du Monument aux morts de Bourbonne-les-Bains (Haute-Marne) et de celui de Bresse (Vosges). L’État lui demande, en 1936, le buste en marbre du corsaire François Thurot, originaire de Nuits-Saint-Georges. La Marine lui passe commande de modèles d’insignes pour ses croiseurs et ses cuirassés. Il réalise pour le Dunkerque deux bronzes La Furieuse et La Fougueuse et 14 médaillons de corsaires dunkerquois pour les postes d’équipage.
En Bourgogne, il réalise le buste du poète Aloysius Bertrand en 1942, inauguré au Jardin de l’Arquebuse de Dijon en 1961 et la statue de Daubenton à Montbard (1948). Marcel Paupion, artiste d’une grande originalité dans ses compositions (lignes sobres et effets de simplicité calculée), décède à Paris le 13 octobre 1966. Il laisse une œuvre féconde, médailles, dessins, portraits, paysages bourguignons (Val-Suzon Bas et les bords de Saône près de Pontailler)..
Selon http://www.academie-sabl-dijon.org/celebration/deces-de-marcel-paupion-peintre-et-sculpteur/
Né à Dijon le 19 décembre 1886, Marcel Paupion se forme à l’art et à la sculpture dans l’atelier de Désiré Piron, vieil artisan dijonnais. Il suit les cours d’Ernest Bouteiller à l’École des Beaux-Arts de Dijon. Boursier du Département, il est admis, en 1906, à l’École nationale des Beaux-Arts de Paris et entre dans l’atelier d’Antonin Mercié ; il fréquente également l’atelier d’un autre sculpteur, son compatriote, Paul Gasq. Paupion est récompensé par deux fois comme lauréat du Prix Roux (Prix de l’Institut), en 1912, avec sa figure décorative Froid, qui reçoit la même année une mention honorable au Salon des Artistes Français et, en 1913, pour son Chasseur primitif, récompensé par l’État au Salon de 1914. Il réalise le Monument à l’aviateur Hubert Latham (1883-1912), érigé en 1914 à Maillebois ( Eure-et-Loir).
Mobilisé dans un régiment d’infanterie, blessé devant Mulhouse dès août 1914, Paupion repart, puis est versé à la section camouflage. Il est titulaire de la Croix de Guerre et de la Médaille militaire. L’artiste travaille pendant la période du conflit : Delenda Germania, tête de poilu hurlant la charge et Souvenirs de Lorette, chien de guerre près du corps de son maître. En 1920, il présente une Pieta, remarquée par la critique et, en 1921, une Tête de Christ coloriée en taille directe. Paupion obtient la commande du Monument aux morts de Bourbonne-les-Bains (Haute-Marne) et de celui de Bresse (Vosges). L’État lui demande, en 1936, le buste en marbre du corsaire François Thurot, originaire de Nuits-Saint-Georges. La Marine lui passe commande de modèles d’insignes pour ses croiseurs et ses cuirassés. Il réalise pour le Dunkerque deux bronzes La Furieuse et La Fougueuse et 14 médaillons de corsaires dunkerquois pour les postes d’équipage.
En Bourgogne, il réalise le buste du poète Aloysius Bertrand en 1942, inauguré au Jardin de l’Arquebuse de Dijon en 1961 et la statue de Daubenton à Montbard (1948). Marcel Paupion, artiste d’une grande originalité dans ses compositions (lignes sobres et effets de simplicité calculée), décède à Paris le 13 octobre 1966. Il laisse une œuvre féconde, médailles, dessins, portraits, paysages bourguignons (Val-Suzon Bas et les bords de Saône près de Pontailler)..