fme_848897 - DRITTE FRANZOSISCHE REPUBLIK Médaille, Clémenceau et l’UMFIA
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Type : Médaille, Clémenceau et l’UMFIA
Datum: 1933
Name der Münzstätte / Stadt : 75 - Paris
Metall : Bronze
Durchmesser : 68 mm
Stempelstellung : 12 h.
Graveur VILLANDRE ??
Gewicht : 144,44 g.
Rand lisse + V. CANALE + triangle
Punze : Triangle
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Patine sombre hétérogène avec quelques points d’usure sur les hauts reliefs. Taches d’oxydation et quelques rayures
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite CLEMENCEAU DOCTEUR EN MÉDECINE MAI 1865.
Beschreibung Vorderseite Tête de Clémenceau à droite.
Rückseite
Titulatur der Rückseite MÉDAILLE COMMÉMORATIVE / JUBILE MÉDICAL // PRÉSIDENT D’HONNEUR FONDATEUR / DE L’ / UMFIA / 11 NOVEMBRE 1933.
Beschreibung Rückseite Lampe antique posée sur des cartouches contenant 5 lignes de légendes.
Kommentare
Georges Benjamin Clemenceau, né le 28 septembre 1841 à Mouilleron-en-Pareds (Vendée) et mort le 24 novembre 1929 à Paris, est un homme d'État français, radical-socialiste, président du Conseil de 1906 à 1909, puis de 1917 à 1920.
Fils de médecin et médecin lui-même, il est maire du 18e arrondissement de Paris puis président du conseil municipal de Paris au début de la Troisième République, ainsi que député en 1871 et de 1876 à 1893, siégeant en tant que républicain radical. Défenseur de l'amnistie pour les Communards, et anticlérical, il prône la séparation des Églises et de l'État et s'oppose à la colonisation, faisant tomber le gouvernement Jules Ferry sur cette question. Fondateur du journal La Justice et de la Société des droits de l'homme et du citoyen, il travaille ensuite à L'Aurore et prend une part active dans la défense du capitaine Dreyfus. Il ne cessa de militer en faveur de la restitution de l'Alsace-Moselle, perdues à la suite de la défaite de 1871.
C’est la première fois que nous rencontrons une médaille de ce graveur largement sous documenté !.
Fils de médecin et médecin lui-même, il est maire du 18e arrondissement de Paris puis président du conseil municipal de Paris au début de la Troisième République, ainsi que député en 1871 et de 1876 à 1893, siégeant en tant que républicain radical. Défenseur de l'amnistie pour les Communards, et anticlérical, il prône la séparation des Églises et de l'État et s'oppose à la colonisation, faisant tomber le gouvernement Jules Ferry sur cette question. Fondateur du journal La Justice et de la Société des droits de l'homme et du citoyen, il travaille ensuite à L'Aurore et prend une part active dans la défense du capitaine Dreyfus. Il ne cessa de militer en faveur de la restitution de l'Alsace-Moselle, perdues à la suite de la défaite de 1871.
C’est la première fois que nous rencontrons une médaille de ce graveur largement sous documenté !.