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fme_381287 - ZWEITES KAISERREICH Médaille d’annexion des communes suburbaines

ZWEITES KAISERREICH Médaille d’annexion des communes suburbaines fSS
Nicht verfügbar.
Artikel auf unserem Online-Shop verkauft (2019)
Preis : 100.00 €
Type : Médaille d’annexion des communes suburbaines
Datum: 1859
Metall : Kupfer
Durchmesser : 72,5 mm
Stempelstellung : 12 h.
Graveur PONSCARME François Joseph Hubert (1827-1903)
Gewicht : 181 g.
Rand lisse + abeille CUIVRE
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Intéressante médaille. Présence de coups et rayures. Traces de nettoyage dans les champs

Vorderseite


Titulatur der Vorderseite NAPOLÉON III EMPEREUR.
Beschreibung Vorderseite Tête de Napoléon III lauré à gauche.

Rückseite


Titulatur der Rückseite ANNEXION DES COMMUNES SUBURBAINES // IVRY - GENTILLY - MONTROUGE - VANVES - VAUGIRARD - ISSY - GRENELLE - PASSY - AUTEUIL - NEUILLY - BATIGNOLLES - CLICHY - MONTMARTRE - ST OUEN / LA CHAPELLE - LA VILETTE - AUBERVILLIERS - PANTIN - PRÉ ST GERVAIS - BELLEVILLE - CHARONNE - BAGNOLET - ST MANDE - BERCY // LOI DU 16 JUIN 1859.
Beschreibung Rückseite Allégorie de la ville de Paris tenant par l’épaule une allégorie plus jeune figurant les communes suburbaines.

Kommentare


Médaille signée Ponscarme H. au droit et au revers.

Les anciennes communes de Paris sont les anciennes communes qui se situaient sur l'actuel territoire du département de Paris, autrefois partie du département de la Seine, et qui ont existé depuis la Révolution française, ainsi que les créations et les modifications officielles de nom. La loi du 16 juin 1859, dite loi Riché du nom de son rapporteur, portant sur l'extension des limites de Paris jusqu'à l'enceinte de Thiers provoque la suppression de onze communes du département de la Seine. Quatre d'entre elles sont entièrement comprises dans l'extension de Paris, en deçà de l'enceinte de Thiers. Elles deviennent intégralement des quartiers de Paris. Sept autres communes, traversées par l'enceinte de Thiers, disparaissent en tant que telles et leurs noms servent à désigner des quartiers. Leurs territoires sont partagés entre Paris et, pour la partie située hors de l'enceinte, la commune d’origine.

François Joseph Hubert Ponscarme, dit Hubert Ponscarme, né à Belmont-lès-Darney 20 mai 1827 et mort à Malakoff le 28 février 1903, est un sculpteur et médailleur français.
En 1839, son père le confie au curé d'Attigny pour prendre des leçons de latin puis, en 1841, il entre en classe de sixième au petit séminaire de Senaide. En 1844, il est envoyé au séminaire de Châtel-sur-Moselle, mais n'y reste que quelques mois. Il gagne sa vie en sculptant des croix pour les tombes du cimetière de Châtel.
Un ami de sa famille, l'abbé Charles Chapiat, natif lui aussi de Belmont, lui fournit un petit pécule pour qu'il puisse rejoindre son frère aîné à Paris. Hubert Ponscarme trouve une place d'apprenti graveur-typographe. Il peut suivre les cours d'Eugène-André Oudiné, de Louis Merley et de André Vauthier-Galle. Lorsque son frère est appelé sous les drapeaux, il contracte un engagement militaire. Son engagement terminé, il attrape le choléra lors d'une épidémie en 1849 et rentre convalescent chez son père à Nonville.
La Société d'émulation des Vosges, par l'intermédiaire de son secrétaire, le docteur Haxo, aide le jeune artiste ; un dossier est constitué. Le département lui attribuera une bourse, qu'il touchera jusqu'en 1854 pour lui permettre de suivre les cours de l'École des beaux-arts de Paris sous la direction d'Eugène-André Oudiné, Auguste Dumont et Louis Merley.
Pour remercier le département de ses largesses, il adresse au musée d'Épinal un buste de Napoléon III, qualifié de : « très ressemblant et parfaitement modelé » par monsieur Laurent, conservateur du musée départemental d'Épinal..

Historischer Hintergrund


ZWEITES KAISERREICH

(02.12.1852-04.09.1870)

Unter dem Namen Napoleon III. zum Kaiser ausgerufen, hielt Louis Napoleon am 2. Dezember 1852 seinen feierlichen Einzug in Paris.. Im Januar 1853 heiratete er Eugénie Marie de Montijo, eine spanische Aristokratin. Seine Regierungszeit lässt sich in drei Perioden einteilen: das autoritäre Reich bis 1860; das Liberale Reich von 1860 bis 1870, dann das Parlamentarische Reich im Jahr 1870. Während des autoritären Kaiserreichs übte Napoleon III. seine Macht aus, ohne sie zu teilen, kontrollierte die Presse, während die Zeitungen Selbstzensur praktizierten, um ihrer Unterdrückung zu entgehen.. Die Präfekten üben in den Departements uneingeschränkte Macht aus, die Bürgermeister, die Beamten werden von der Regierung ernannt. Wie im Ersten Kaiserreich werden Bildung und Universität überwacht. Unter Beibehaltung der Grundprinzipien der Revolution wird die Souveränität des Volkes dank der Volksbefragung aufrechterhalten. Auf wirtschaftlicher Ebene ist der Boom wichtig, die Industrialisierung entwickelt sich ebenso wie Kreditinstitute und Kaufhäuser. Durch den Krimkrieg wird das militärische Prestige gesteigert, was es Frankreich ermöglicht, eine internationale Rolle zu spielen. Der Angriff von Orsini (Januar 1858) hindert Frankreich nicht daran, in Italien einzugreifen, um den Triumph zum Prinzip der Nationalitäten zu machen, und ermöglicht die Verbindung von Nizza und Savoyen durch den Vertrag von Turin (März 1860).. Ab 1860 strebte das Imperium mehr Freiheiten an: Freihandelsvertrag mit England, Auftreten einer schwachen Opposition in der gesetzgebenden Körperschaft, Gewährung des Streikrechts (1864), Liberalisierung der Presse (1868).. Auf internationaler Ebene erwirbt Frankreich Neukaledonien und Cochinchina und fördert den Bau des Suezkanals durch Ferdinand de Lesseps. In Mexiko scheiterte jedoch die Unterstützung für Maximilian und Österreich. Die Wahlen von 1869 verliefen sehr schlecht für das Regime und die Opposition erhielt 45 % der Stimmen. Das Regime entwickelte sich dann zu einem parlamentarischen Imperium, indem es Émile Ollivier, den Führer der Orléanisten- und Liberalenpartei, an die Macht berief. Nach Sadowa im Jahr 1866, als Preußen Österreich zerschmetterte, führten die Affäre um den spanischen Thron und die Entsendung aus Ems zum Krieg, der am 19. Juli 1870 erklärt wurde. Nach zunehmenden Rückschlägen wurde die französische Armee in Metz umzingelt, woraufhin der kranke Napoleon III. am 2. September bei Sedan kapitulierte. Sobald die Nachricht bekannt wurde, verkündete Gambetta den Niedergang des Imperiums und am 4. September wurde die Republik ausgerufen.. wurde dann nach Hessen gefangen genommen und ging dann nach Kent, wo er 1873 starb..

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