bpv_177129 - OTHO Tétradrachme syro-phénicien
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Preis : 750.00 €
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Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: 69
Name der Münzstätte / Stadt : Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metall : Silber
Durchmesser : 25,50 mm
Stempelstellung : 12 h.
Gewicht : 15,03 g.
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Exemplaire sur un flan extrêmement large et ovale, néanmoins légèrement aplati à 12 heures au droite et 6 heures au revers avec une petite faiblesse de frappe sur les légendes. Portrait de qualité exceptionnelle pour ce type de monnayage avec un petit écrasement sur la couronne de laurier. Revers de haut relief avec une usure superficielle sur les plumes du corps de l’aigle. Une rayure dans le champ du revers. Recouvert d’une très belle patine de collection ancienne avec des reflets dorés
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Cet exemplaire est le 0102_017. Il provient de la vente Sternberg des 25 et 26 novembre 1976, n° 510 et de la vente Numismatic Fine Arts XII des 23 et 24 mars 1983, n° 211
Vorderseite
Beschreibung Vorderseite Tête laurée d’Othon à droite (O*).
Legende des Averses AUTOKRATwR MARKOS [OQwN] KAISAR SEBASTOS (Autokratoros Markos Oqwnos Kaisaros Sebastos)
Übersetzung der Vorderseite (L’empereur Marc Othon césar auguste).
Rückseite
Beschreibung Rückseite Aigle debout à gauche sur une couronne, les ailes déployées, tenant une couronne dans son bec ; dans le champ à gauche une palme.
Legende des Reverses : [ETOUS A]
Übersetzung der Rückseite (an 1).
Kommentare
Le monnayage d’Othon pour l’atelier d’Antioche est moins rare que pour l’atelier de Rome. Deux types de tétradrachmes sont répertoriés avec des frappes massives et courtes, directement dans la continuité de la dernière émission de Galba, tant pour le type que pour le style. On peut se demander si cet afflux de métal à monnayer n’est pas issu d’une décision d’Othon de se concilier les faveurs de la plus importante cité de l’Orient par un important versement de métal. Cet exemplaire est issu de la deuxième variante qui se caractérise par son graveur et par l’absence d’un croissant entre les pattes de l’aigle, comme dans la dernière émission de Galba. On peut légitimement se demander si, plus qu’une origine géographique différente, cette marque n’indique pas le financier de l’émission sans que nous puissions, bien entendu, avoir plus de détails. On remarque par ailleurs que les aigles des frappes d’Othon portent la couronne dans le bec, probablement une distinction accordée à la ville émettrice. Les sigma sont traités en C. Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, quatre-vingt deux exemplaires sont maintenant répertoriés.
Otho's coinage for the Antioch mint is less rare than for the Roman mint. Two types of tetradrachms are recorded with massive and short strikes, directly in line with Galba's last issue, both in type and style. One might wonder if this influx of metal to be minted did not result from Otho's decision to curry favor with the most important city in the East by a large metal payment. This example comes from the second variant, which is characterized by its engraver and by the absence of a crescent between the eagle's legs, as in Galba's last issue. One might legitimately wonder whether, more than a different geographical origin, this mark does not indicate the financier of the issue, without us being able, of course, to have more details. It is also noted that the eagles in Otho's strikes bear the crown in their beaks, probably a distinction granted to the issuing city. The sigmas are treated in C. In the TSP database maintained by Michel Prieur, eighty-two examples are now listed
Otho's coinage for the Antioch mint is less rare than for the Roman mint. Two types of tetradrachms are recorded with massive and short strikes, directly in line with Galba's last issue, both in type and style. One might wonder if this influx of metal to be minted did not result from Otho's decision to curry favor with the most important city in the East by a large metal payment. This example comes from the second variant, which is characterized by its engraver and by the absence of a crescent between the eagle's legs, as in Galba's last issue. One might legitimately wonder whether, more than a different geographical origin, this mark does not indicate the financier of the issue, without us being able, of course, to have more details. It is also noted that the eagles in Otho's strikes bear the crown in their beaks, probably a distinction granted to the issuing city. The sigmas are treated in C. In the TSP database maintained by Michel Prieur, eighty-two examples are now listed







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