E-auction 260-183694 - fjt_473437 - MAISON DU ROI (ADMINISTRATIONS DÉPENDANT DE LA... ) Jeton Cu 27, Roger du Plessis 1631
Sie müssen angeschlossen sein und von cgb.fr genehmigt werden, um in einer E-Auktion teilzunehmen.Melden Sie sich an, um zu wetten..Die Kontobestätigungen sind innerhalb von 48 Stunden nach Ihrer Anmeldung gemacht.Warten Sie nicht bis die letzten zwei Tage vor dem Abschluss eines Verkaufs, um Ihre Registrierung abzuschließen. Klickend "BIETEN" verpflichten Sie sich vertraglich, diesen Artikel zu kaufen und Sie nehmen ohne Reserve die allgemeinen Verkaufsbedingungen für den e-auctions zu cgb.fr an.
Der Verkauf wird an der Zeit auf der Übersichtsseite angezeigt geschlossen werden. Angebote, die nach der Schließung Zeit empfangen sind, werden nicht gültig.
Bitte beachten Sie, dass die Fristen für die Einreichung Ihres Angebots auf unsere Server können variieren und es kann zur Ablehnung Ihres Angebots entstehen, wenn es in den letzten Sekunden des Verkaufs gesendet wird. Die Angebote sollen mit ganzer Zahl ausgeführt sein, Sie können Kommas oder des Punktes in Ihrem Angebot nicht erfassen. Bei Fragen klicken Sie hier, um einen Blick auf die FAQ E-Auktionen.
KEINE ANSCHAFFUNGSKOSTEN FÜR DIE KÄUFER.
KEINE ANSCHAFFUNGSKOSTEN FÜR DIE KÄUFER.
Schätzung : | 15 € |
Preis : | 6 € |
Höchstgebot : | 6 € |
Verkaufsende : | 09 April 2018 18:31:30 |
Bieter : | 3 Bieter |
Type : Jeton Cu 27, Roger du Plessis
Datum: 1631
Metall : Kupfer
Durchmesser : 27 mm
Stempelstellung : 6 h.
Gewicht : 6,18 g.
Seltenheitsgrad : R3
N° im Nachschlagewerk :
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite .LOYS. XIII. R. DE. FRAN. ET. NAV. - 1631.
Beschreibung Vorderseite Buste lauré et drapé de Louis XIII à droite, type Guéant Prieur 102A.
Rückseite
Titulatur der Rückseite ROG. DV. PLESSEYS. P.G. DE LA CHARG. DV. ROY.
Beschreibung Rückseite Écus accolés de France et Navarre avec les deux colliers des ordres du Roi.
Kommentare
La lecture de Feuardent en CH ARG est certainement fautive. Le titre exact est probablement Premier Gentilhomme de la Chambre du roi.
Roger du Plessis, duc de Liancourt (1609[1]-1er août 1674)
Il est fils de Charles du Plessis, seigneur de Liancourt, premier écuyer d'Henri III, gouverneur de Metz, et d'Antoinette de Pons, marquise de Guercheville.
Il fut premier gentilhomme de la chambre du Roi, en 1620 ou 1624 et menin de Louis XIII ; en France, un menin était l'un des six gentilhommes qui étaient affectés particulièrement à la personne du dauphin. On les appelait aussi gentilshommes de la manche.
Venu d'Espagne, où le mot (en espagnol menino, petit, mignon) désignait un jeune noble donné pour compagnon aux enfants royaux, ce mot fut employé pour la première fois en France quand on composa, en 1680, la maison du Grand Dauphin.
Parmi les personnalités ayant occupé cette charge sous l'Ancien Régime on peut citer le marquis de Dangeau, le marquis de Mimeure et le comte du Muy.
Sous la Restauration, qui remit en vigueur nombre des anciennes charges de cour, le duc d'Angoulême, devenu dauphin à l'avènement de Charles X en 1824, eut également ses menins, parmi lesquels le marquis d'Osmond.
En Espagne, le mot peut se féminiser lorsqu'il désigne de jeunes filles données pour compagnes à une princesse royale, comme on le voit dans le titre du célèbre tableau de Vélasquez : Les Ménines..
Roger du Plessis, duc de Liancourt (1609[1]-1er août 1674)
Il est fils de Charles du Plessis, seigneur de Liancourt, premier écuyer d'Henri III, gouverneur de Metz, et d'Antoinette de Pons, marquise de Guercheville.
Il fut premier gentilhomme de la chambre du Roi, en 1620 ou 1624 et menin de Louis XIII ; en France, un menin était l'un des six gentilhommes qui étaient affectés particulièrement à la personne du dauphin. On les appelait aussi gentilshommes de la manche.
Venu d'Espagne, où le mot (en espagnol menino, petit, mignon) désignait un jeune noble donné pour compagnon aux enfants royaux, ce mot fut employé pour la première fois en France quand on composa, en 1680, la maison du Grand Dauphin.
Parmi les personnalités ayant occupé cette charge sous l'Ancien Régime on peut citer le marquis de Dangeau, le marquis de Mimeure et le comte du Muy.
Sous la Restauration, qui remit en vigueur nombre des anciennes charges de cour, le duc d'Angoulême, devenu dauphin à l'avènement de Charles X en 1824, eut également ses menins, parmi lesquels le marquis d'Osmond.
En Espagne, le mot peut se féminiser lorsqu'il désigne de jeunes filles données pour compagnes à une princesse royale, comme on le voit dans le titre du célèbre tableau de Vélasquez : Les Ménines..