bpv_173791 - MACRINUS Tétradrachme syro-phénicien
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Preis : 550.00 €
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Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: 217-218
Name der Münzstätte / Stadt : Aradus, Phénicie
Metall : Scheidemünze
Durchmesser : 23 mm
Stempelstellung : 7 h.
Gewicht : 12,39 g.
Seltenheitsgrad : R3
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Infime usure, traces de nettoyage, portrait exceptionnel
N° im Nachschlagewerk :
Vorderseite
Beschreibung Vorderseite Buste lauré, cuirassé et drapé de Macrin à droite, vu de trois quarts en avant, l’un des deux rubans de la couronne laurée descendant sur l’épaule (A*).
Legende des Averses AUT KAI. M. A. O. S. MAKRINOS, (Autokratoros Kaisaros Opellios Seuhros Makrinos Sebastos).
Übersetzung der Vorderseite (L’empereur césar Marc Opel Sévère Macrin auguste).
Rückseite
Beschreibung Rückseite Aigle debout à gauche, les ailes déployées, la tête et la queue tournées à droite, forme de couronne dans le bec ; entre les pattes de l’aigle, un protomé de taureau tourné vers la droite.
Legende des Reverses : DHMARC EX UPATOS A.
Übersetzung der Rückseite (Revêtu de la puissance tribunitienne consul pour la première fois).
Kommentare
Outre sa légende et le buste, ce type se caractérise par la légende de revers et la position du A final.
Cet exemplaire fait partie de la série à tête de taureau. Pour Macrin, le symbole n’est pas exactement présenté comme pour Caracalla mais de nouveaux graveurs sont apparus, chacun ne gravant que quelques coins, on ne peut donc rien conclure.
Les émissions attribuées à Arados sont très nombreuses et très variées. Il n’est pas exclu que plusieurs séries aient été indûment regroupées et la multiplicité des graveurs, tant pour les avers que les revers, ainsi que les différentes monnaies de présentation le laissent penser.
Pire, contrairement à l’habitude, il n’existe pas un type central à chaque série, largement frappé et retrouvé en quantité appréciable, mais de très nombreux types variés retrouvés chacun à quelques exemplaires. Ce type de répartition rappelle plus de petits ateliers qu’un atelier important. Pire, certains types de présentation rappellent directement d’autres séries mais sans qu’il soit techniquement possible de les y rattacher. Le Prieur 1229, par exemple, avec un Caracalla déifié au-dessus de l’aigle à l’avers et un dieu solaire radié (Aglibel ?) posé sur un croissant de lune au revers, renvoie sur le Prieur 1062, qui a un revers identique mais se trouve être un tétradrachme réformé d’Uranius Antonin.
Attribuer le Prieur 1229 à Emisa ? Impossible, le graveur des légendes est typique des séries attribuées à Aradus et rien dans la gravure ne rappelle les émissions attribuées à Emisa.
Bref, en attendant une hypothétique trouvaille providentielle, ou une mise au clair par liaisons de coins et de graveurs de toutes les monnaies attribuées à Aradus, cette attribution semble le moins mauvais choix.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, trois exemplaires sont maintenant répertoriés, un en musée, à Paris, ex collection Seyrig. Notre exemplaire, qui provient des plateaux de la maison Waddell, est le 1250_004.
Cet exemplaire fait partie de la série à tête de taureau. Pour Macrin, le symbole n’est pas exactement présenté comme pour Caracalla mais de nouveaux graveurs sont apparus, chacun ne gravant que quelques coins, on ne peut donc rien conclure.
Les émissions attribuées à Arados sont très nombreuses et très variées. Il n’est pas exclu que plusieurs séries aient été indûment regroupées et la multiplicité des graveurs, tant pour les avers que les revers, ainsi que les différentes monnaies de présentation le laissent penser.
Pire, contrairement à l’habitude, il n’existe pas un type central à chaque série, largement frappé et retrouvé en quantité appréciable, mais de très nombreux types variés retrouvés chacun à quelques exemplaires. Ce type de répartition rappelle plus de petits ateliers qu’un atelier important. Pire, certains types de présentation rappellent directement d’autres séries mais sans qu’il soit techniquement possible de les y rattacher. Le Prieur 1229, par exemple, avec un Caracalla déifié au-dessus de l’aigle à l’avers et un dieu solaire radié (Aglibel ?) posé sur un croissant de lune au revers, renvoie sur le Prieur 1062, qui a un revers identique mais se trouve être un tétradrachme réformé d’Uranius Antonin.
Attribuer le Prieur 1229 à Emisa ? Impossible, le graveur des légendes est typique des séries attribuées à Aradus et rien dans la gravure ne rappelle les émissions attribuées à Emisa.
Bref, en attendant une hypothétique trouvaille providentielle, ou une mise au clair par liaisons de coins et de graveurs de toutes les monnaies attribuées à Aradus, cette attribution semble le moins mauvais choix.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, trois exemplaires sont maintenant répertoriés, un en musée, à Paris, ex collection Seyrig. Notre exemplaire, qui provient des plateaux de la maison Waddell, est le 1250_004.