E-auction 247-170535 - fme_423215 - LUDWIG PHILIPP I Médaille, JULES JANIN, Vicomte de Chateaubriand
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KEINE ANSCHAFFUNGSKOSTEN FÜR DIE KÄUFER.
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Schätzung : | 150 € |
Preis : | 38 € |
Höchstgebot : | 40 € |
Verkaufsende : | 08 Januar 2018 19:04:00 |
Bieter : | 7 Bieter |
Type : Médaille, JULES JANIN, Vicomte de Chateaubriand
Datum: 1844
Name der Münzstätte / Stadt : France, Bretagne
Metall : Kupfer
Durchmesser : 41,5 mm
Stempelstellung : 12 h.
Gewicht : 40 g.
Rand lisse + proue CUIVRE
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Superbe médaille avec d’infimes traces de manipulation
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite F. A. VICOMTE DE - CHATEAUBRIAND.
Beschreibung Vorderseite Buste habillé de trois quarts face de Chateaubriand, signé : A. BOVY - D’APRES GIRODET.
Rückseite
Titulatur der Rückseite LA BRETAGNE HISTORIQUE PAR JULES JANIN.
Beschreibung Rückseite Écu couronné de Bretagne.
Kommentare
Médaille signée A.BOVY D'APRÈS GIRODET.
Gabriel-Jules Janin, né à Saint-Étienne le 16 février 18041 est mort à Paris le 19 juin 1874, est un écrivain et critique dramatique français.
Fils d’un avocat, Janin reçoit une bonne éducation, d’abord dans sa ville natale puis au lycée Louis-le-Grand à Paris. Après un passage dans l’étude de l’avoué Jean-Baptiste Guillonnet-Merville, où il sera saute-ruisseau en même temps qu’Honoré de Balzac, il devient journaliste et travaille notamment à la Revue de Paris, à la Revue des deux Mondes, au Figaro et à la Quotidienne. Il fut parmi les fondateurs de la Revue de Paris et du Journal des Enfants. Il se fait connaître en 1827 avec le roman L’Âne mort et la femme guillotinée. La Confession en 1830, un peu moins profond, mais au style encore plus remarquable, et Barnave en 1831, où il attaque la famille d’Orléans, finissent d’asseoir sa réputation.
Entre-temps, il entre comme critique au Journal des Débats où il reste quarante ans. Son autorité le fait surnommer « le prince des critiques »..
Gabriel-Jules Janin, né à Saint-Étienne le 16 février 18041 est mort à Paris le 19 juin 1874, est un écrivain et critique dramatique français.
Fils d’un avocat, Janin reçoit une bonne éducation, d’abord dans sa ville natale puis au lycée Louis-le-Grand à Paris. Après un passage dans l’étude de l’avoué Jean-Baptiste Guillonnet-Merville, où il sera saute-ruisseau en même temps qu’Honoré de Balzac, il devient journaliste et travaille notamment à la Revue de Paris, à la Revue des deux Mondes, au Figaro et à la Quotidienne. Il fut parmi les fondateurs de la Revue de Paris et du Journal des Enfants. Il se fait connaître en 1827 avec le roman L’Âne mort et la femme guillotinée. La Confession en 1830, un peu moins profond, mais au style encore plus remarquable, et Barnave en 1831, où il attaque la famille d’Orléans, finissent d’asseoir sa réputation.
Entre-temps, il entre comme critique au Journal des Débats où il reste quarante ans. Son autorité le fait surnommer « le prince des critiques »..