fme_423190 - ITALIEN Médaille de Giorgio Baglivi
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Preis : 200.00 €
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Type : Médaille de Giorgio Baglivi
Datum: 1704
Name der Münzstätte / Stadt : Italie, Rome
Metall : Bronze
Durchmesser : 40 mm
Stempelstellung : 12 h.
Gewicht : 28 g.
Rand lisse
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Belle et intéressante médaille, avec une très belle patine brune
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite G BAGLIVUS MED. IN ROM. - ARCHIL. P. ET. SOC. REG. LOND. COLL.
Beschreibung Vorderseite Buste à droite de Giorgio Baglivi.
Rückseite
Titulatur der Rückseite VNAM. FACIEMVS. VTRAMQVE.
Beschreibung Rückseite Matériel de médecine sur une table, pilon etc.
Kommentare
Médaille signée SV derrière le buste.
Giorgio Baglivi, ou encore George Baglivi (8 septembre 1668, Raguse - 15 juin 1707, Rome) est un médecin Ragusien. Giorgio Baglivi reçut les leçons de Antonio Maria Valsalva et de Marcello Malpighi, et fut nommé, par Clément XI, professeur de chirurgie et d'anatomie dans le collège de la Sapience à Rome. Il contribua puissamment à ramener les médecins à l'observation de la nature et à l'étude des écrits d'Hippocrate.
Il combattit les doctrines chimiques par lesquelles on expliquait tout depuis Paracelse et Jan Baptist van Helmont, et dans lesquels on attachait une importance exclusive aux liquides du corps humain, et leur substitua une doctrine qui attribuait le principal rôle aux parties solides, ayant reconnu les propriétés contractiles et les forces vitales dont elles sont animées : aussi le regarde-t-on comme le chef des solidistes..
Giorgio Baglivi, ou encore George Baglivi (8 septembre 1668, Raguse - 15 juin 1707, Rome) est un médecin Ragusien. Giorgio Baglivi reçut les leçons de Antonio Maria Valsalva et de Marcello Malpighi, et fut nommé, par Clément XI, professeur de chirurgie et d'anatomie dans le collège de la Sapience à Rome. Il contribua puissamment à ramener les médecins à l'observation de la nature et à l'étude des écrits d'Hippocrate.
Il combattit les doctrines chimiques par lesquelles on expliquait tout depuis Paracelse et Jan Baptist van Helmont, et dans lesquels on attachait une importance exclusive aux liquides du corps humain, et leur substitua une doctrine qui attribuait le principal rôle aux parties solides, ayant reconnu les propriétés contractiles et les forces vitales dont elles sont animées : aussi le regarde-t-on comme le chef des solidistes..