bpv_141584 - GALBA Tétradrachme syro-phénicien
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Preis : 280.00 €
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Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: 68
Name der Münzstätte / Stadt : Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metall : Silber
Durchmesser : 25 mm
Stempelstellung : 1 h.
Gewicht : 14,79 g.
Seltenheitsgrad : R2
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Exemplaire relativement bien centré pour cette émission, très beau portrait caractéristique, conservation standard pour les exemplaires connus, identique à celle l’exemplaire du Cabinet des Médailles de Paris, qui provient du Fonds général (FG 240)
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Cet exemplaire est le 0093_007, il provient de la trouvaille dite de Cisjordanie
Vorderseite
Beschreibung Vorderseite Tête laurée et diadémée de Galba à droite (O°).
Legende des Averses GALBA[S AUTOKRATWR] SEBASTOS.
Übersetzung der Vorderseite (L'empereur Galba césar auguste).
Rückseite
Beschreibung Rückseite Aigle debout à gauche sur un foudre, les ailes déployées ; dans le champ à gauche, une palme verticale.
Legende des Reverses : ETOUS sIR.
Übersetzung der Rückseite an 116 de l’ère césarienne.
Kommentare
Cette très rare émission inaugurale reprend la date de la dernière frappe de Néron, revient à l’aigle sur le foudre, manifestement le type standard, et utilise un graveur remarquable, que nous retrouverons plus tard dans l’une des émissions de Vespasien.
Il n’est pas exclu, mais non prouvé, que cette frappe proviennent d’une ville, officine ou d’un financement différent de la suivante, Prieur 94, certainement la première émission officiellement approuvée puisqu’elle indique la première année régnale de Galba.
On peut aussi penser que cette émission se produit entre la proclamation de Galba par les légions en Espagne et sa prise de pouvoir effective dans la Ville. Il n’est pas exclu qu’un denier de Galba frappé en Espagne, avec ce portrait si particulier, ait servi de modèle au graveur grec d’Antioche, avant que l’imago officielle n’arrive.
Techniquement, on ne connaît qu’un ou peut-être deux coins de droit. On remarque par ailleurs que les aigles des frappes de ce graveur ne portent pas la couronne dans le bec, probablement une distinction accordée à la ville émettrice, contrairement aux aigles du deuxième graveur de Galba. Les sigma sont traités en C.
On doit remarquer un détail intriguant dans la couronne de laurier, le tracé d’une fine cordelette qui sépare les feuilles. Ce détail ne se retrouvant que sur cette émission, on peut supposer qu’il s’agit de la représentation d’un diadème, symbole du pouvoir politique dans les cités grecques, qui vient se rajouter au laurier, symbole du pouvoir militaire. Il est possible que ce soit simplement la technique utilisée par le graveur pour matérialiser la branche du laurier.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, neuf exemplaires seulement sont maintenant répertoriés.
Il n’est pas exclu, mais non prouvé, que cette frappe proviennent d’une ville, officine ou d’un financement différent de la suivante, Prieur 94, certainement la première émission officiellement approuvée puisqu’elle indique la première année régnale de Galba.
On peut aussi penser que cette émission se produit entre la proclamation de Galba par les légions en Espagne et sa prise de pouvoir effective dans la Ville. Il n’est pas exclu qu’un denier de Galba frappé en Espagne, avec ce portrait si particulier, ait servi de modèle au graveur grec d’Antioche, avant que l’imago officielle n’arrive.
Techniquement, on ne connaît qu’un ou peut-être deux coins de droit. On remarque par ailleurs que les aigles des frappes de ce graveur ne portent pas la couronne dans le bec, probablement une distinction accordée à la ville émettrice, contrairement aux aigles du deuxième graveur de Galba. Les sigma sont traités en C.
On doit remarquer un détail intriguant dans la couronne de laurier, le tracé d’une fine cordelette qui sépare les feuilles. Ce détail ne se retrouvant que sur cette émission, on peut supposer qu’il s’agit de la représentation d’un diadème, symbole du pouvoir politique dans les cités grecques, qui vient se rajouter au laurier, symbole du pouvoir militaire. Il est possible que ce soit simplement la technique utilisée par le graveur pour matérialiser la branche du laurier.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, neuf exemplaires seulement sont maintenant répertoriés.