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fjt_743624 - DOYENS DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS Guy Patin 1652

DOYENS DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS Guy Patin fVZ
220.00 €
Menge
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Type : Guy Patin
Datum: 1652
Metall : Kupfer
Durchmesser : 27,5 mm
Stempelstellung : 6 h.
Gewicht : 5,85 g.
Rand lisse
Seltenheitsgrad : R2
N° im Nachschlagewerk :
F.4498A  - Corre.3879  -  Fournié N°9

Vorderseite


Titulatur der Vorderseite M. GUY PATIN DOYEN 1652.
Beschreibung Vorderseite Portrait de Guy Patin.

Rückseite


Titulatur der Rückseite VRBI ET ORBI SALVS - FACUL. MEDIC. PARIS 1652.
Beschreibung Rückseite Armes de la Faculté.
Übersetzung der Rückseite Le salut pour la ville et pour le monde.

Kommentare


Patin, né dans le diocèse de Beauvais, fut homme de lettres autant que médecin. Très apprécié pour ses qualités d'homme du monde et d'écrivain. il lutta contre les prétentions des apothicaires et contre l'usage de l'antimoine.
Sa biographie, dans wikipedia, est remarquable, en voici un extrait Guy ou Gui Patin, né le 31 août 1601 à La Place près de Hodenc-en-Bray et mort le 30 août 1672 à Paris, est un médecin et un homme de lettres français.

L’éducation de Guy Patin fut commencée par son père, qui lui faisait lire, « encore tout petit » les Vies de Plutarque. Il étudia ensuite au collège de Beauvais, d’où il vint à Paris faire sa philosophie au collège de Boncourt. Brouillé avec sa famille par son refus d’entrer dans la carrière ecclésiastique, il se livra à l’étude de la médecine et, comme il était dépourvu de ressources, il se fit correcteur d’imprimerie.
En 1624, il prit le grade de docteur et, en 1651, succéda à son maître Riolan dans sa chaire au Collège de France, doyen de la Faculté de médecine de Paris (1650-1652), professeur au Collège de France à partir de 1655. En tant que scientifique, Guy Patin n’a pas eu une œuvre remarquable et certains l’ont comparé aux médecins des pièces de Molière : latinistes obscurantistes et adeptes de la saignée, hostiles à tout progrès de leur art.
Quoiqu’il ait fait, comme médecin, beaucoup de bruit par ses vives polémiques en faveur des anciens contre les partisans des découvertes modernes, on allait l’entendre surtout pour ses bons mots et ses traits satiriques ; des grands seigneurs, le recevant à dîner, plaçaient un louis d’or sous son assiette, pour reconnaître le plaisir que leur causait sa verve sarcastique. Elle se retrouve entière dans ses Lettres, qu’il ne destinait pas à la publicité, et qui font vivre son nom.
Guy Patin fut surtout un épistolier prolixe et parfois redoutable. Dans sa correspondance suivie avec les principaux savants de l’Europe, les nouvelles du jour, les détails curieux sur la littérature et les hommes illustres du temps, les bons mots abondent, avec des hardiesses de toutes sortes, une malveillance visible, beaucoup de passion, de la crudité et quelquefois de la grossièreté. Son style plaisant, léger et humoristique fait de lui un philosophe libertin. Ses lettres sont une ressource de choix pour les historiens de la médecine.
« Gui Patin, dit Vigneul-Marville, était satirique depuis la tête jusqu’aux pieds… Son chapeau, son collet, son manteau, son pourpoint, ses chausses, ses bottines, tout cela faisait nargue à la mode et le procès a la vanité. Il avait dans le visage l’air de Cicéron, et dans l’esprit le caractère de Rabelais. »

la suite à http://fr.wikipedia.org/wiki/Guy_Patin .
Patin, born in the diocese of Beauvais, was a man of letters as well as a doctor.. Highly appreciated for his qualities as a man of the world and a writer. he fought against the claims of apothecaries and against the use of antimony.
His biography, in Wikipedia, is remarkable, here is an extract Guy or Gui Patin, born on August 31, 1601 in La Place near Hodenc-en-Bray and died on August 30, 1672 in Paris, is a French doctor and man of letters.

Guy Patin's education began with his father, who made him read, \\\"still very young\\\", the Lives of Plutarch. He then studied at the Collège de Beauvais, from where he came to Paris to study philosophy at the Collège de Boncourt.. Having fallen out with his family over his refusal to enter the ecclesiastical profession, he devoted himself to the study of medicine and, as he was destitute of resources, he became a proofreader..
In 1624 he took the rank of doctor and, in 1651, succeeded his master Riolan in his chair at the Collège de France, dean of the Faculty of Medicine of Paris (1650-1652), professor at the Collège de France from 1655. As a scientist, Guy Patin did not have a remarkable body of work and some have compared him to the doctors in Molière's plays: obscurantist Latinists and adepts of bloodletting, hostile to any progress in their art..
Although, as a doctor, he made a lot of noise with his lively polemics in favor of the ancients against the partisans of modern discoveries, he was heard above all for his witticisms and his satirical traits; great lords, receiving him for dinner, placed a gold louis under his plate, to recognize the pleasure that his sarcastic verve caused them.. She finds herself entirely in his Letters, which he did not intend for publicity, and which keep his name alive.
Guy Patin was above all a prolific and sometimes formidable letter writer.. In his regular correspondence with the principal scholars of Europe, the news of the day, the curious details on literature and the illustrious men of the time, the witticisms abound, with boldness of all kinds, visible malevolence, a lot of passion, crudity and sometimes coarseness.. His pleasant, light and humorous style makes him a libertine philosopher. His letters are a valuable resource for historians of medicine..
\\\"Gui Patin,\\\" says Vigneul-Marville, \\\"was a satirist from head to toe... His hat, his collar, his coat, his doublet, his breeches, his boots, all of this mocked fashion and the trial of vanity.\\\". He had in his face the air of Cicero, and in his mind the character of Rabelais.. » the rest at http://fr. Wikipedia. org/wiki/Guy_Patin

Historischer Hintergrund


DOYENS DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS

Die Medizinische Fakultät von Paris ist eine der vier Komponenten der Universität Paris, zusammen mit der Theologischen Fakultät, der Juristischen Fakultät und der Fakultät für Geisteswissenschaften. Im Jahr 1789 bestand es aus einhundertzweiundfünfzig Ärzten, von denen sieben mit der Lehrtätigkeit in den Bereichen Materia Medica, Physiologie, Pathologie, Pharmazie, Geburtshilfe, französische Chirurgie und lateinische Chirurgie beauftragt wurden. An der Spitze stand ein Dekan, dem auch die Bildung des Universitätsgerichts mit den Dekanen der Theologie und der Rechtswissenschaften sowie den vier Staatsanwälten der Philosophischen Fakultät oblag..

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