E-auction 98-51289 - bpv_305573 - ELAGABALUS Tétradrachme syro-phénicien
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KEINE ANSCHAFFUNGSKOSTEN FÜR DIE KÄUFER.
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Schätzung : | 45 € |
Preis : | 29 € |
Höchstgebot : | 30 € |
Verkaufsende : | 02 März 2015 16:05:00 |
Bieter : | 10 Bieter |
Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: 218-220
Name der Münzstätte / Stadt : Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metall : Scheidemünze
Durchmesser : 26,00 mm
Stempelstellung : 6 h.
Gewicht : 12,48 g.
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Faible usure de circulation uniquement visible sur les lauriers et le ventre de l’aigle, flan trop court, patine sombre
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Cet exemplaire, qui provient de la trouvaille dite de Syrie 1930, est le 0257_018 de la base TSP
Vorderseite
Beschreibung Vorderseite Elagabal tête laurée à droite, les rubans de la couronne de lauriers flottant derrière la tête, un reste de draperie devant et derrière le buste.
Legende des Averses AUT K M A ... ANTwNEINOS SEB
Übersetzung der Vorderseite Empereur César Marc Aurèle Antonin Auguste.
Rückseite
Beschreibung Rückseite Aigle au style de Laodicée nettement debout à droite sur une ligne de terre, les ailes déployées, la tête et queue à gauche, tenant une couronne lisse de laurier dans son bec, une étoile à huit branches entre les pattes.
Legende des Reverses : DHMARC EX UPATOSTOB / .D. - .E.
Übersetzung der Rückseite (Puissance tribunitienne, consul pour la deuxième fois).
Kommentare
Bien que classé par commodité à Antioche, ce type a été attribué au graveur de Laodicée en Séleucie et Pierie, par identité de style du revers avec les frappes de cet atelier sous Caracalla et Macrin.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : aucun portrait n’est compatible avec un style de Laodicée tel que nous le voyons sous Caracalla ou Macrin ; en revanche, cette série de revers “laodicéen” est bien fournie. On peut donc penser que ce graveur fut exclusivement chargé de graver des revers tandis que d’autres, dans le même atelier, gravaient des droits.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, cent cinquante exemplaires sont maintenant répertoriés dont en musées Yale (3), Paris (2), ANS, Jérusalem (16), Berlin (2), Oxford (2) et Israel State Museum.
Although classified for convenience in Antioch, this type has been attributed to the engraver of Laodicea in Seleucia and Pieria, by identity of style of the reverse with the strikes of this workshop under Caracalla and Macrinus.
The examples of this series are consistent with the idea of a grouping of engravers in Antioch: no portrait is compatible with a Laodicean style such as we see it under Caracalla or Macrinus; on the other hand, this series of “Laodicean” reverses is well supplied. We can therefore think that this engraver was exclusively responsible for engraving reverses while others, in the same workshop, engraved rights.
The issues of Elagabalus are classified by reference to their reverse engraver, when this can be compared to a previous issue identified for a city, and by style more generally when this is not the case.. There are around thirty reverse engravers and less than ten obverse engravers..
The question of whether the Caracalla workshops, still in production under Macrinus, were preserved or whether all the engravers were grouped together in Antioch is not settled, due to the lack of an analysis of the die bonds.. It is nevertheless believed that this was the case, if only because of the systematic presence of Delta Eta in the field of the reverse.
All official tetradrachms of Elagabalus bear the date of the second consulship, the hiatus between Caracalla and the new emperor being considered the latter's first consulship.. Judging by some issues, the minting certainly ended, in a complete degeneration of alloy and style, around 220, in any case before the third consulate..
Note that the sigmas are engraved in C.
In the TSP database maintained by Michel Prieur, one hundred and fifty examples are now listed, including in museums Yale (3), Paris (2), ANS, Jerusalem (16), Berlin (2), Oxford (2) and Israel State Museum
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : aucun portrait n’est compatible avec un style de Laodicée tel que nous le voyons sous Caracalla ou Macrin ; en revanche, cette série de revers “laodicéen” est bien fournie. On peut donc penser que ce graveur fut exclusivement chargé de graver des revers tandis que d’autres, dans le même atelier, gravaient des droits.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, cent cinquante exemplaires sont maintenant répertoriés dont en musées Yale (3), Paris (2), ANS, Jérusalem (16), Berlin (2), Oxford (2) et Israel State Museum.
Although classified for convenience in Antioch, this type has been attributed to the engraver of Laodicea in Seleucia and Pieria, by identity of style of the reverse with the strikes of this workshop under Caracalla and Macrinus.
The examples of this series are consistent with the idea of a grouping of engravers in Antioch: no portrait is compatible with a Laodicean style such as we see it under Caracalla or Macrinus; on the other hand, this series of “Laodicean” reverses is well supplied. We can therefore think that this engraver was exclusively responsible for engraving reverses while others, in the same workshop, engraved rights.
The issues of Elagabalus are classified by reference to their reverse engraver, when this can be compared to a previous issue identified for a city, and by style more generally when this is not the case.. There are around thirty reverse engravers and less than ten obverse engravers..
The question of whether the Caracalla workshops, still in production under Macrinus, were preserved or whether all the engravers were grouped together in Antioch is not settled, due to the lack of an analysis of the die bonds.. It is nevertheless believed that this was the case, if only because of the systematic presence of Delta Eta in the field of the reverse.
All official tetradrachms of Elagabalus bear the date of the second consulship, the hiatus between Caracalla and the new emperor being considered the latter's first consulship.. Judging by some issues, the minting certainly ended, in a complete degeneration of alloy and style, around 220, in any case before the third consulate..
Note that the sigmas are engraved in C.
In the TSP database maintained by Michel Prieur, one hundred and fifty examples are now listed, including in museums Yale (3), Paris (2), ANS, Jerusalem (16), Berlin (2), Oxford (2) and Israel State Museum