bpv_305586 - ELAGABALUS Tétradrachme syro-phénicien
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Artikel auf unserem Online-Shop verkauft (2014)
Preis : 130.00 €
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Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: 218-220
Name der Münzstätte / Stadt : Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metall : Scheidemünze
Durchmesser : 26 mm
Stempelstellung : 6 h.
Gewicht : 11,57 g.
Seltenheitsgrad : R2
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Belle frappe, flan très très court qui présente le portrait comme un bijou
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Cet exemplaire, qui provient de la trouvaille dite de Qalat Mathiq 2008, est le 0262_004 de la base TSP
Vorderseite
Beschreibung Vorderseite Elagabal tête laurée à gauche, les rubans de la couronne de lauriers derrière la tête, un reste de draperie devant et derrière le buste.
Legende des Averses AUT K M A - ... - ANTwNEINOS SEB
Übersetzung der Vorderseite Empereur César Marc Aurèle Antonin Auguste.
Rückseite
Beschreibung Rückseite Aigle aux ailes à petits points nettement debout à droite sur une ligne de terre, les ailes déployées, la tête et queue à gauche, tenant une couronne perlée de laurier dans son bec, une étoile à six branches entre les pattes.
Legende des Reverses : DHMARC EX UPATOSTOB / .D. - .E.
Übersetzung der Rückseite (Puissance tribunitienne, consul pour la deuxième fois).
Kommentare
La référence Prieur 262 a dû être divisée en deux car il a été découvert une variante où non seulement le buste a le ruban de la couronne de laurier sur l’épaule mais où l’aigle est orienté à l’inverse : au lieu de tête et queue à gauche, c’est tête et queue à droite.
La série des “aigles aux ailes à petits points” correspond à quelques graveurs que l’on ne trouve pas avant Elagabal mais dont la caractéristique commune est de traiter les plumes des ailes en petits points.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : plusieurs coins de droit se retrouvent avec d’autres graveurs de revers. On peut donc penser que tous ces graveurs travaillaient dans le même atelier, sauf, bien entendu, si l’on arrive un jour à prouver que les coins de droit voyageaient. De tels coins voyageurs ont été repérés dans la région pour des bronzes à cette période : là encore, une analyse des liaisons de coins serait essentielle à la compréhension du monnayage.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, sept exemplaires sont maintenant répertoriés dont en musées Jérusalem et Gaziantep (Zeugma hoard).
The Prieur 262 reference had to be divided in two because a variant was discovered where not only does the bust have the laurel wreath ribbon on the shoulder but the eagle is oriented the other way around: instead of head and tail on the left, it is head and tail on the right..
The series of “eagles with small dotted wings” corresponds to a few engravers who are not found before Elagabalus but whose common characteristic is to treat the wing feathers in small dots..
The examples of this series are consistent with the idea of a grouping of engravers in Antioch: several obverse dies are found with other reverse engravers. We can therefore assume that all these engravers worked in the same workshop, unless, of course, we one day manage to prove that the obverse dies travelled.. Such traveling dies have been identified in the region for bronzes from this period: again, an analysis of the dies' connections would be essential to understanding the coinage..
The issues of Elagabalus are classified by reference to their reverse engraver, when this can be compared to a previous issue identified for a city, and by style more generally when this is not the case.. There are around thirty reverse engravers and less than ten obverse engravers..
The question of whether the Caracalla workshops, still in production under Macrinus, were preserved or whether all the engravers were grouped together in Antioch is not settled, due to the lack of an analysis of the die bonds.. It is nevertheless believed that this was the case, if only because of the systematic presence of Delta Eta in the field of the reverse.
All official tetradrachms of Elagabalus bear the date of the second consulship, the hiatus between Caracalla and the new emperor being considered the latter's first consulship.. Judging by some issues, the minting certainly ended, in a complete degeneration of alloy and style, around 220, in any case before the third consulate..
Note that the sigmas are engraved in C.
In the TSP database maintained by Michel Prieur, seven examples are now listed, including those in museums in Jerusalem and Gaziantep (Zeugma hoard).
La série des “aigles aux ailes à petits points” correspond à quelques graveurs que l’on ne trouve pas avant Elagabal mais dont la caractéristique commune est de traiter les plumes des ailes en petits points.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : plusieurs coins de droit se retrouvent avec d’autres graveurs de revers. On peut donc penser que tous ces graveurs travaillaient dans le même atelier, sauf, bien entendu, si l’on arrive un jour à prouver que les coins de droit voyageaient. De tels coins voyageurs ont été repérés dans la région pour des bronzes à cette période : là encore, une analyse des liaisons de coins serait essentielle à la compréhension du monnayage.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, sept exemplaires sont maintenant répertoriés dont en musées Jérusalem et Gaziantep (Zeugma hoard).
The Prieur 262 reference had to be divided in two because a variant was discovered where not only does the bust have the laurel wreath ribbon on the shoulder but the eagle is oriented the other way around: instead of head and tail on the left, it is head and tail on the right..
The series of “eagles with small dotted wings” corresponds to a few engravers who are not found before Elagabalus but whose common characteristic is to treat the wing feathers in small dots..
The examples of this series are consistent with the idea of a grouping of engravers in Antioch: several obverse dies are found with other reverse engravers. We can therefore assume that all these engravers worked in the same workshop, unless, of course, we one day manage to prove that the obverse dies travelled.. Such traveling dies have been identified in the region for bronzes from this period: again, an analysis of the dies' connections would be essential to understanding the coinage..
The issues of Elagabalus are classified by reference to their reverse engraver, when this can be compared to a previous issue identified for a city, and by style more generally when this is not the case.. There are around thirty reverse engravers and less than ten obverse engravers..
The question of whether the Caracalla workshops, still in production under Macrinus, were preserved or whether all the engravers were grouped together in Antioch is not settled, due to the lack of an analysis of the die bonds.. It is nevertheless believed that this was the case, if only because of the systematic presence of Delta Eta in the field of the reverse.
All official tetradrachms of Elagabalus bear the date of the second consulship, the hiatus between Caracalla and the new emperor being considered the latter's first consulship.. Judging by some issues, the minting certainly ended, in a complete degeneration of alloy and style, around 220, in any case before the third consulate..
Note that the sigmas are engraved in C.
In the TSP database maintained by Michel Prieur, seven examples are now listed, including those in museums in Jerusalem and Gaziantep (Zeugma hoard).







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