E-auction 161-98279 - bpv_153741 - ELAGABALUS Tétradrachme syro-phénicien
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KEINE ANSCHAFFUNGSKOSTEN FÜR DIE KÄUFER.
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Schätzung : | 95 € |
Preis : | 25 € |
Höchstgebot : | 26 € |
Verkaufsende : | 16 Mai 2016 15:15:30 |
Bieter : | 10 Bieter |
Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: 218-220
Name der Münzstätte / Stadt : Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metall : Scheidemünze
Durchmesser : 26,00 mm
Stempelstellung : 12 h.
Gewicht : 13,00 g.
Seltenheitsgrad : R1
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Faible usure de circulation mais décentrement au droit et surtout coin très mou où l’on peut même penser que le portrait a été regravé et non les légendes
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Cet exemplaire est le 0269_006 de la base TSP
Vorderseite
Beschreibung Vorderseite Buste cuirassé (ptéryges bien visibles) et drapé d’Elagabal lauré à droite, vu de trois-quarts de dos, les rubans de la couronne de lauriers flottant derrière la tête.
Legende des Averses AUT K M A ... ANTwNEINOS SEB
Übersetzung der Vorderseite Empereur César Marc Aurèle Antonin Auguste.
Rückseite
Beschreibung Rückseite Aigle aux ailes lignées debout à droite sur une ligne de terre, les ailes déployées, la tête et queue à gauche, tenant une couronne lisse de laurier dans son bec, une étoile à huit rais entre les pattes.
Legende des Reverses : DHMARC EX UPATOSTOB / .D. - .E.
Übersetzung der Rückseite (Puissance tribunitienne, consul pour la deuxième fois).
Kommentare
Le coin d’effigie cuirassée vue de derrière utilisé pour cet exemplaire est de la même main que les coins utilisés pour d’autres revers réalisés par d’autres graveurs.
La série des “aigles aux ailes lignées” correspond à quelques graveurs que l’on ne trouve pas avant Elagabal mais dont la caractéristique commune est de traiter les plumes des ailes en petites lignes horizontales. L’examen des droits montre que cette série partage manifestement des graveurs de droit avec d’autres séries.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : plusieurs coins de droit se retrouvent avec d’autres graveurs de revers. On peut donc penser que tous ces graveurs travaillaient dans le même atelier, sauf, bien entendu, si l’on arrive un jour à prouver que les coins de droit voyageaient. De tels coins voyageurs ont été repérés dans la région pour des bronzes à cette période : là encore, une analyse des liaisons de coins serait essentielle à la compréhension du monnayage.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, vingt-deux exemplaires sont maintenant répertoriés, dont deux en musées ANS et Yale (ex Doura).
La série des “aigles aux ailes lignées” correspond à quelques graveurs que l’on ne trouve pas avant Elagabal mais dont la caractéristique commune est de traiter les plumes des ailes en petites lignes horizontales. L’examen des droits montre que cette série partage manifestement des graveurs de droit avec d’autres séries.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : plusieurs coins de droit se retrouvent avec d’autres graveurs de revers. On peut donc penser que tous ces graveurs travaillaient dans le même atelier, sauf, bien entendu, si l’on arrive un jour à prouver que les coins de droit voyageaient. De tels coins voyageurs ont été repérés dans la région pour des bronzes à cette période : là encore, une analyse des liaisons de coins serait essentielle à la compréhension du monnayage.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, vingt-deux exemplaires sont maintenant répertoriés, dont deux en musées ANS et Yale (ex Doura).