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v36_1036 - CONSTANTINOPEL Centenionalis ou nummus

CONSTANTINOPEL Centenionalis ou nummus ST
MONNAIES 36 (2008)
Startpreis : 225.00 €
Schätzung : 350.00 €
Erzielter Preis : 225.00 €
Anzahl der Gebote : 1
Höchstgebot : 812.00 €
Type : Centenionalis ou nummus
Datum: début
Datum: 335
Name der Münzstätte / Stadt : Arles
Metall : Kupfer
Durchmesser : 17 mm
Stempelstellung : 12 h.
Gewicht : 2,61 g.
Seltenheitsgrad : R2
Officine: 1re
Emission: 48e
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Exemplaire de qualité exceptionnelle pour ce type monétaire sur un petit flan irrégulier. Très beau portrait de haut relief. Revers magnifique où tous les détails de la Victoire sont visibles. Très belle patine marron glacé avec des reflets métalliques. Conserve son brillant de frappe et son coupant d’origine
N° im Nachschlagewerk :

Vorderseite


Titulatur der Vorderseite CONSTAN-TINOPOLIS.
Beschreibung Vorderseite Buste de Constantinople casquée, drapée et cuirassée à gauche vu de trois quarts en avant, avec le sceptre sur l'épaule (D*2).
Übersetzung der Vorderseite “Constantinopolis”, (De Constantinople).

Rückseite


Titulatur der Rückseite ANÉPIGRAPHE/ (CHRISME)|-// PCONST.
Beschreibung Rückseite Victoria (la Victoire) debout de face tournée à gauche sur une proue de navire, les ailes déployées, tenant un sceptre transversal de la main droite et appuyée sur un bouclier de la main gauche ; dans le champ supérieur gauche, un chrisme.

Kommentare


Avec l’intégralité de son argenture superficielle. Casque et visière lisses. Grand collier. Magnifique chrisme au revers dans le champ à gauche. Le bouclier de Constantinople est orné d’un umbo central entouré de quatre globules posés en losange. Ce type est en fait beaucoup plus rare que ne le laissent supposer les ouvrages généraux.

Historischer Hintergrund


CONSTANTINOPEL

(330-348)

Nach der Einnahme Roms am 28. Oktober 312 blieb Konstantin nicht in der Hauptstadt. Er zog nach Arles, das fast zur neuen Hauptstadt des Imperiums wurde. Nach 324 und dem Sieg über Licinius beschloss Konstantin, an den Grenzen Europas und Asiens, am Ufer des Bosporus, eine neue Hauptstadt zu errichten und damit das antike Byzanz wiederzubeleben. Rom ist bereits nicht mehr in Rom und Konstantinopel ist noch nicht geboren. Im Mai 330 weiht Konstantin seine neue christliche Hauptstadt ein. Es wird das neue Rom sein. Die alte senatorische Aristokratie verzeiht ihm nie. Das Ende Roms, wenn nicht des Römischen Reiches, hat gerade erst begonnen.

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