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bpv_305473 - CARACALLA Tétradrachme syro-phénicien

CARACALLA Tétradrachme syro-phénicien fVZ
Nicht verfügbar.
Artikel auf unserem Online-Shop verkauft (2014)
Preis : 380.00 €
Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: 214-215
Name der Münzstätte / Stadt : Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metall : Scheidemünze
Durchmesser : 25,5 mm
Stempelstellung : 6 h.
Gewicht : 13,06 g.
Seltenheitsgrad : R3
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Belle frappe bien centrée sur un flan bien rond, infime usure de circulation
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Cet exemplaire est le 222_001 de la base TSP, il provient de la vente sur offres Elsen 15 du 3 février 1990, n° 85 et de la Collection Robert Gait

Vorderseite


Beschreibung Vorderseite Buste lauré drapé et cuirassé de Caracalla à gauche, ptéryges bien visibles sous le paludamentum, vu de trois-quarts arrière (A*3), avec barbe touffue et les rubans derrière la nuque, début de la légende à la nuque.
Legende des Averses ANTWNEINOS. - .SE AUT K. M. A..
Übersetzung der Vorderseite (Antonin auguste empereur césar Marc Aurèle).

Rückseite


Beschreibung Rückseite Aigle à gauche, ailes écartées, tête et queue à droite, tenant un cuissot d’animal sacrificiel dans ses serres, souris à droite, et une couronne perlée de lauriers dans son bec.
Legende des Reverses : .DHMARC .EX. - UPATO. D., (Dhmarcikhs Ex Ousias Upatos D).
Übersetzung der Rückseite (Revêtu de la puissance tribunitienne consul pour la quatrième fois).

Kommentare


La caractéristique spécifique à ce type, Prieur 222, est le buste drapé et cuirassé, tourné à gauche et la légende de droit omettant le B final qui est présent sur le Prieur 221.
À noter que McAlee ne différencie pas les deux légendes et regroupe les Prieur 221 et 222 sous la même référence.
On pourrait gloser sur la concordance, dans ce groupe, des bustes militaires et de l’orientation à gauche, mais cette concordance disparaissant dès les émissions de guerre proprement dites, ce serait probablement vain. Ces émissions à bustes militaires sont relativement peu nombreuses, de l’ordre du sixième des frappes du groupe. On remarquera la position curieuse de la légende, mais, là encore, probablement rien de signifiant puisque les positions redeviennent usuelles pour les émissions militaires de 215/217.
Cette monnaie appartient à l’émission caractérisée par l’absence du Delta Eta au revers et aux frappes massives de la préparation à la guerre parthique, voire aux débuts de la campagne. La qualité de gravure et de frappe est toujours bonne, voire très bonne, mais l’empereur commence à voir son portrait vieillir et les rides épaisses qui marquent son front, en sont une bonne illustration.
On peut raisonnablement penser que les graveurs ont voulu exprimer la personnalité autant que l’aspect réel - l’empereur n’a que 26 ans - en exagérant ces traits. La moue dédaigneuse de ces portraits est probablement causée par la moustache sur l’empereur porte manifestement tombante.
On peut aussi penser que la vie de débauche dont son père avait essayé de l’extraire, par exemple en organisant une campagne un peu superflue en Bretagne, l’a profondément marqué.
Ce groupe d’émissions est daté du quatrième consulat mais ces monnaies sont radicalement différentes, de style de revers et de style de portrait, de la première émission du quatrième consulat (Prieur 216), que nous avons laissée avec celles du troisième, dans le groupe des frappes aux deux étoiles.
Là encore, comme sous Domitien, dont les émissions, bien datées, permettent de juger des changements de graveurs, on constate que d’une année (Prieur 216) à l’autre (Prieur 217), nous ne trouvons plus le même graveur et pouvons supposer une réorganisation radicale.
Cette réorganisation, si elle a permis une très forte augmentation de la production, n’a pourtant pas nécessité plus d’un graveur, l’homogénéité des exemplaires répertoriés est remarquable, à une poignée d’exceptions près. Là encore, on peut penser que l’organisation de l’atelier d’Antioche ne requérait pas un graveur inamovible mais, selon des méthodes qui nous resteront toujours inconnues, concours, fermage ou adjudication, l’attribution du poste, pour des durées variables, à des artistes différents.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, huit exemplaires sont maintenant répertoriés dont aucun en musée.

Historischer Hintergrund


CARACALLA

(27.05.196-08.04.217)

Augustus

Nach Getas Ermordung verfügte Caracalla die „damnatio memoriæ“ seines Bruders. Im Jahr 212 wurde die „Constitution Antoniniana“ verkündet. Alle Bewohner des Reiches wurden römische Bürger. Im folgenden Jahr unternahm er einen Feldzug in Germanien und errang viele Siege über die Deutschen, Iapygen und Goten. Er erhielt den Titel „Germanicus“. Das Ende der Herrschaft wurde im Jahr 215 durch die Währungsreform und die Gründung des Antoninianus markiert. Caracalla beginnt einen letzten Feldzug gegen die Parther. Er wird ermordet, nachdem er seine Vicennalia gefeiert hat.

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