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bpv_153696 - CARACALLA Tétradrachme syro-phénicien

CARACALLA Tétradrachme syro-phénicien fVZ
Nicht verfügbar.
Artikel auf unserem Online-Shop verkauft (2012)
Preis : 750.00 €
Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: 215-217
Name der Münzstätte / Stadt : Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metall : Scheidemünze
Durchmesser : 26,00 mm
Stempelstellung : 6 h.
Gewicht : 11,43 g.
Seltenheitsgrad : R3
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Exemplaire absolument remarquable, au centrage, à la frappe et à l’état des coins excellents
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Cet exemplaire est le 0237_004 de la base TSP , il provient de la vente Monnaies et Médailles Allemagne 7 du 12 novembre 2000 n° 305

Vorderseite


Beschreibung Vorderseite Buste cuirassé et lauré de Caracalla barbu à droite, la moustache tombante, les rubans de la couronne de laurier derrière la nuque, vu de trois-quarts de dos, cuirasse “en écailles”.
Legende des Averses SEB AUT K M ANTWNEINOS .
Übersetzung der Vorderseite (L’empereur césar Marc Aurèle Antonin auguste).

Rückseite


Beschreibung Rückseite Aigle à gauche, ailes écartées, tête et queue à droite, sur un croissant de lune pointes dressées sur une ligne de terre incurvée, une étoile à huit branches entre les pattes, et une couronne perlée de lauriers dans son bec.
Legende des Reverses : DHMARC EX UPATOSTOD.
Übersetzung der Rückseite (Revêtu de la puissance tribunitienne consul pour la quatrième fois).

Kommentare


Les bustes cuirassés non drapés sont très rares dans la série des tétradrachmes syro-phéniciens de Caracalla. C’est regrettable puisque leur iconographie est très intéressante et curieux puisque c’est le buste militaire par excellence. Importance suprême de la cape de commandement ou fatigue des graveurs rechignant aux détails et préférant les drapés ? On remarque sur cet exemplaire le dos de la cuirasse, composé d’écailles métalliques superposées en tuiles, cuirasse que l’on retrouvera sur certaines émissions militaires de Philippe l’Arabe.
Le droit de notre exemplaire est caractéristique des portraits caricaturaux de l’empereur. Il n’est qu’à regarder cet oeil méfiant profondément enfoncé dans l’orbite, sous des sourcils épais et froncés, un front étroit et plissé par le soupçon, la bouche tordue et mauvaise, dont le rictus est renforcé par une moustache tombante, bien nette sur notre exemplaire : quand on n’a de tels portraitistes, on n’a plus besoin d’adversaires politiques. Ce qui fait de plus la valeur d’un tel portrait est sa provenance d’un atelier que nous avons toutes raisons de croire militaire et suivant les légions. Le graveur a certainement personnellement vu l’empereur, il ne travaille pas à partir d’une imago. Nous sommes très loin de Rome et des portraits stéréotypés et souvent flatteurs.
Les monnaies de la série des aigles avec étoile sur croissant sont de mêmes graveurs que la série à la petite massue. La différence de symbole ne peut donc s’expliquer que par une cause extérieure à l’atelier : l’atelier a peut-être voyagé et changé de symbole à cette occasion ou les fonds nécessaires à cette nouvelle fabrication ont été fournis par une source différente.
Un détail de description qui a été négligé dans le Prieur et est bien visible sur cet exemplaire est l’existence, sous le croissant de lune, d’une sorte de ligne de terre incurvée qui rejoint les deux pattes de l’aigle en passant sous le croissant. Lorsque l’on aura trouvé à quoi correspond ce symbole, il est possible que ce détail, spécifique à cette série, se comprendra mieux.
Ces frappes énigmatiques, dites émissions de guerre, sont classées par convenance à Antioche, tant par Bellinger que par Prieur, bien que tous deux considèrent que cette attribution est certainement fausse. La meilleure preuve est la disparition sur ces émissions du Delta Eta dans le champ de revers, spécifique à Antioche et que l’on y retrouve inchangé sous Macrin et Diaduménien. On pense donc à des ateliers militaires itinérants, suivant les légions et frappant à la demande. Ces émissions sont particulièrement intéressantes et mal connues, une recherche des liaisons de coins et une typologie des graveurs pourrait améliorer la connaissance des ateliers militaires à cette période.
Les caractéristiques communes de ces émissions de guerre sont un style peu recherché, des symboles nouveaux et difficiles à attribuer à un atelier particulier, souvent des graveurs répertoriés pour des ateliers bien connus où, en revanche, on ne trouve aucune émission de guerre. Souvent, des frappes de graveurs différents mais de symboles identiques ont été regroupées alors qu’une analyse des liaisons de coins montrera peut-être qu’il s’agit en fait de plusieurs séries nettement séparées.
On remarquera, à propos des émissions de guerre en général, qu’aucune n’est connue à l’effigie de Macrin, le contraire étant la règle pour pratiquement toutes les séries identifiées pour des villes. C’est une preuve supplémentaire que ces séries sont exclusivement liées à la guerre parthique, qui s’interrompt dès la prise du pouvoir par Macrin, et non à une ou des municipalités qui n’auraient pas encore été identifiées.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, cinq exemplaires sont maintenant répertoriés, tous du même coins de droit, seul le musée de Munich dispose d’un exemplaire.

Historischer Hintergrund


CARACALLA

(27.05.196-08.04.217)

Augustus

Nach Getas Ermordung verfügte Caracalla die „damnatio memoriæ“ seines Bruders. Im Jahr 212 wurde die „Constitution Antoniniana“ verkündet. Alle Bewohner des Reiches wurden römische Bürger. Im folgenden Jahr unternahm er einen Feldzug in Germanien und errang viele Siege über die Deutschen, Iapygen und Goten. Er erhielt den Titel „Germanicus“. Das Ende der Herrschaft wurde im Jahr 215 durch die Währungsreform und die Gründung des Antoninianus markiert. Caracalla beginnt einen letzten Feldzug gegen die Parther. Er wird ermordet, nachdem er seine Vicennalia gefeiert hat.

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