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bpv_153698 - CARACALLA Tétradrachme syro-phénicien

CARACALLA Tétradrachme syro-phénicien S
Nicht verfügbar.
Artikel auf unserem Online-Shop verkauft (2012)
Preis : 65.00 €
Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: 215-217
Name der Münzstätte / Stadt : Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metall : Scheidemünze
Durchmesser : 26,00 mm
Stempelstellung : 5 h.
Gewicht : 13,43 g.
Seltenheitsgrad : R1
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Coin de droit usé, corrosion au revers, aspect désagréable
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Cet exemplaire est le 0239_019

Vorderseite


Beschreibung Vorderseite Buste cuirassé (ptéryges visibles), drapé et lauré de Caracalla barbu à droite, les deux rubans de la couronne de laurier flottants dans le dos, vu de trois-quarts de dos.
Legende des Averses SEB. AU.T. K .M.A. ANTWNEINOS .
Übersetzung der Vorderseite (L’empereur césar Marc Aurèle Antonin auguste).

Rückseite


Beschreibung Rückseite Aigle à gauche, ailes écartées, tête et queue à droite, sur un croissant de lune pointes dressées, une étoile à huit branches entre les pattes, et une couronne perlée de lauriers dans son bec.
Legende des Reverses : DHMARC EX UPATOSTOD.
Übersetzung der Rückseite (Revêtu de la puissance tribunitienne consul pour la quatrième fois).

Kommentare


La logique de ces émissions semble prévoir un buste nu lauré, un buste cuirassé de face, un buste cuirassé de revers et un buste cuirassé et drapé vu de dos, car chaque série, plus ou moins (mais on peut toujours espérer de nouvelles découvertes !) semble suivre ce cahier des charges. Toutes les monnaies connues pour cette description ont le même graveur.
Les monnaies de la série des aigles avec étoile sur croissant sont de mêmes graveurs que la série à la petite massue. La différence de symbole ne peut donc s’expliquer que par une cause extérieure à l’atelier : l’atelier a peut-être voyagé et changé de symbole à cette occasion ou les fonds nécessaires à cette nouvelle fabrication ont été fournis par une source différente.
Ces frappes énigmatiques, dites émissions de guerre, sont classées par convenance à Antioche, tant par Bellinger que par Prieur, bien que tous deux considèrent que cette attribution est certainement fausse. La meilleure preuve est la disparition sur ces émissions du Delta Eta dans le champ de revers, spécifique à Antioche et que l’on y retrouve inchangé sous Macrin et Diaduménien. On pense donc à des ateliers militaires itinérants, suivant les légions et frappant à la demande. Ces émissions sont particulièrement intéressantes et mal connues, une recherche des liaisons de coins et une typologie des graveurs pourrait améliorer la connaissance des ateliers militaires à cette période.
Les caractéristiques communes de ces émissions de guerre sont un style peu recherché, des symboles nouveaux et difficiles à attribuer à un atelier particulier, souvent des graveurs répertoriés pour des ateliers bien connus où, en revanche, on ne trouve aucune émission de guerre. Souvent, des frappes de graveurs différents mais de symboles identiques ont été regroupées alors qu’une analyse des liaisons de coins montrera peut-être qu’il s’agit en fait de plusieurs séries nettement séparées.
On remarquera, à propos des émissions de guerre en général, qu’aucune n’est connue à l’effigie de Macrin, le contraire étant la règle pour pratiquement toutes les séries identifiées pour des villes. C’est une preuve supplémentaire que ces séries sont exclusivement liées à la guerre parthique, qui s’interrompt dès la prise du pouvoir par Macrin, et non à une ou des municipalités qui n’auraient pas encore été identifiées.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, dix-neuf exemplaires sont maintenant répertoriés. De tous les musées répertoriés, seuls l’ANS, grâce à Newell, et Paris, grâce à Chandon de Briailles, disposent d’un exemplaire de cette référence.

Historischer Hintergrund


CARACALLA

(27.05.196-08.04.217)

Augustus

Nach Getas Ermordung verfügte Caracalla die „damnatio memoriæ“ seines Bruders. Im Jahr 212 wurde die „Constitution Antoniniana“ verkündet. Alle Bewohner des Reiches wurden römische Bürger. Im folgenden Jahr unternahm er einen Feldzug in Germanien und errang viele Siege über die Deutschen, Iapygen und Goten. Er erhielt den Titel „Germanicus“. Das Ende der Herrschaft wurde im Jahr 215 durch die Währungsreform und die Gründung des Antoninianus markiert. Caracalla beginnt einen letzten Feldzug gegen die Parther. Er wird ermordet, nachdem er seine Vicennalia gefeiert hat.

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