fjt_072463 - BRETAGNE (ÉTATS DE...) CHAMBRE DES COMPTES DE BRETAGNE 1578
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Preis : 60.00 €
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Type : CHAMBRE DES COMPTES DE BRETAGNE
Datum: 1578
Metall : Messing
Durchmesser : 27,5 mm
Stempelstellung : 6 h.
Gewicht : 5,26 g.
Rand lisse
Seltenheitsgrad : R1
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Usure assez importante au droit et une griffe au revers. Exemplaire complet avec un beau revers
N° im Nachschlagewerk :
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite + HEN. D:G. FRAN. ET. PO. REX. MANET. VLTIMA. COELO.
Beschreibung Vorderseite Trois couronnes dont l’une dans un ciel étoilé ; à l’exergue 1578.
Übersetzung der Vorderseite (Henri par la grâce de Dieu roi de France et de Pologne - la plus élevée reste au ciel).
Rückseite
Titulatur der Rückseite .SVBDVCENDIS. RATIONIBVS - CAM. COMP. REGIORVM. BRI.
Beschreibung Rückseite Écu couronné et écartelé de France et de Bretagne, entouré du collier de Saint-Michel.
Übersetzung der Rückseite (Pour faire les comptes de la Chambre des comptes de Bretagne).
Kommentare
Exemplaire dont le coin 1577 a été regravé pour faire 1578. Revers explicite aux couronnes de France et de Pologne avec la légende “manet ultima coelo” : seule la plus élevée reste au ciel.
La chambre des comptes de Bretagne est installée à Nantes où elle forme une survivance dans un fief réuni au domaine royal. Comme les autres chambres des comptes du royaume, elle fonctionne avec des comptables qui transmettent leurs comptes au procureur général. Ce dernier les présentaient au Grand bureau de la chambre des comptes où siégeaient des auditeurs et des correcteurs. Enfin, les maîtres jugeaient les comptes en définitif. Dans la réalité, les chambres des comptes provinciales n'étaient d'aucune utilité pour la comptabilité publique et leur rôle consistait à apurer les comptes envoyés par le Conseil du roi sans autre examen.
La chambre des comptes de Bretagne est installée à Nantes où elle forme une survivance dans un fief réuni au domaine royal. Comme les autres chambres des comptes du royaume, elle fonctionne avec des comptables qui transmettent leurs comptes au procureur général. Ce dernier les présentaient au Grand bureau de la chambre des comptes où siégeaient des auditeurs et des correcteurs. Enfin, les maîtres jugeaient les comptes en définitif. Dans la réalité, les chambres des comptes provinciales n'étaient d'aucune utilité pour la comptabilité publique et leur rôle consistait à apurer les comptes envoyés par le Conseil du roi sans autre examen.