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v38_1687 - MEROWINGISCHEN MÜNZEN - BANASSAC (BANNACIACO) - Lozere Denier

MEROWINGISCHEN MÜNZEN - BANASSAC (BANNACIACO) - Lozere Denier fVZ
MONNAIES 38 (2009)
Startpreis : 350.00 €
Schätzung : 500.00 €
Erzielter Preis : 410.00 €
Anzahl der Gebote : 4
Höchstgebot : 560.00 €
Type : Denier
Datum: (VII-VIIIe siècles)
Name der Münzstätte / Stadt : Banassac
Metall : Silber
Durchmesser : 12 mm
Stempelstellung : 12 h.
Gewicht : 1,43 g.
Seltenheitsgrad : R3
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Denier sur un flan épais et régulier, presque rond, de poids particulièrement lourd ! Frappe centrée et vigoureuse des deux côtés. Patine grise plus ou moins homogène avec de petites concrétions de surface

Vorderseite


Beschreibung Vorderseite Calice à deux anses ou mitre stylisée (?), surmonté d’une croisette et surmontant trois annelets posés en triangle.

Rückseite


Titulatur der Rückseite E - D - A - Z.
Beschreibung Rückseite Croix aux bras bifides, une lettre dans chaque canton.

Kommentare


Le calice, typique du monnayage d’argent de Banassac, est différent sur ce denier par rapport à ceux du Belfort, par exemple. Pour ce type, toutes variétés confondues, G. Depeyot n’a répertorié que neuf exemplaires ; les trois du Belfort, trois de la vente Cahn 1932, deux du trésor de Saint-Pierre-les Etieux et un du trésor de Bais. Un dixième exemplaire est aussi classé à Banassac à cause du calice, mais d’un tout autre type (cf. B. 5757).
Au revers, les lettres A et Z sont relativement nettes dans les 3e et 4e cantons de la croix, mais les lettres dans les deux premiers cantons sont difficiles à identifier. D’après les monnaies n° 774 à 777 du Belfort, il devrait s’agir de RA-G ou LA. Les lettres RAG ont fait attribuer ces deniers à Ragenfrid, mais A. de Belfort les restitue à Banassac en raison des analogies avec les monnaies d’or au calice.
Seulement sur l’exemplaire proposé ici, l’analogie n’est pas du tout évidente et les lettres semblent plutôt être E (rétrograde) au premier canton et D au deuxième canton !
Bien qu’aucune autre monnaie d’argent s’en approchant ne semble être publiée, il est permis de douter de la parenté de ce denier avec les monnaies traditionnellement attribuées à Banassac ?.

Historischer Hintergrund


MEROWINGISCHEN MÜNZEN - BANASSAC (BANNACIACO) - Lozere

(7. Jahrhundert)

In den ersten drei Jahrhunderten unserer Zeitrechnung war Banassac, bekannt als Banaciacum, nach Javols (Gabalum) die zweitgrößte Stadt des Gévaudan. Es erstreckt sich über den heutigen Standort des Dorfes, entlang der Ufer der Urugne bis zum Fuß von Malepeyre. Seinen Wohlstand verdankt es der Herstellung von Siegelkeramik. Die Töpferwerkstätten befanden sich am Ufer der Urugne. Ihre Gründung wird durch das Vorhandensein von Ton von guter Qualität vor Ort, die Nähe eines Flusses, Brennholz für die Öfen und die Nähe einer Kommunikationsachse, die Millau mit Javols verbindet, erleichtert. Banassac erlangte im Mittelalter erneut Berühmtheit durch seine Münzstätten, die es im 6. und 7. Jahrhundert zu einem der aktivsten Zentren im Gévaudan machten. Es war die Stadt, in der die meisten Goldmünzen, Sous und Triens geprägt wurden; Einige sind mit den Bildnissen der Könige Childebert II. oder Charibert II. von Aquitanien und Austrasien geprägt. Einigen zufolge wurde das Zehntel der erhaltenen merowingischen Goldmünzen in Banassac hergestellt. Banassacs wiederkehrendes Motiv ist eine Vase, vielleicht ein Überbleibsel einer Töpfertradition ....

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