bpv_304889 - VESPASIANUS UND TITUS Tétradrachme syro-phénicien
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Artikel auf unserem Online-Shop verkauft (2013)
Preis : 330.00 €
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Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: an 2
Name der Münzstätte / Stadt : Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metall : Silber
Durchmesser : 26 mm
Stempelstellung : 12 h.
Gewicht : 14,19 g.
Seltenheitsgrad : R1
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Flan court mais qui met bien en valeur les portaits
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Cet exemplaire est le 0108A_001, il provient de la trouvaille dite de Cisjordanie ; c’est l’exemplaire qui illustre le type dans le Prieur
Vorderseite
Beschreibung Vorderseite Tête laurée de Vespasien à gauche (O*1) .
Legende des Averses AUTOKRAT KAISA OUESPASIANOU.
Übersetzung der Vorderseite (L'empereur césar Vespasien).
Rückseite
Beschreibung Rückseite Tête laurée de Titus à droite (O*), une étoile derière la nuque, la date B surmontée d’une barre sous le menton .
Legende des Reverses : T .FLAUI. OUESP. KAIS. ETOUS NEOU IEROU.
Übersetzung der Rückseite (Flavius Vespasien César - nouvelle année sainte An 2).
Kommentare
L'an 2 correspond aux années 70-71. Ces pièces du deuxième groupe des frappes de Vespasien sont émises au moment où Titus achève la pacification de la Judée, la prise et la destruction de Jérusalem. On pense que les artistes qui les ont gravées, comme celles du groupe 3, venaient de l’atelier d’Alexandrie et constituaient un atelier militaire : le style est caractéristique d’Alexandrie et l’émission n’existe que pour l’an 2, au plus haut des besoins liés à la Guerre Juive. L’attribution à la zone proche-orientale est néanmoins certaine, confirmée par la manière de dater, différente du L d’Alexandrie.
Tout ce groupe au double portrait est du même style et se double de rarissimes aurei, du même graveur et style.
On a longtemps pensé, probablement par association avec Alexandrie, que cette série était dans un métal moins riche que les autres émissions : c’était une erreur, des analyses réalisées récemment à Orléans ont montré que leur métal était au moins aussi bon.
Sur un plan symbolique, cette série réserve encore de nombreuses énigmes, tant par les variations de droite à gauche du portrait de Vespasien, alors que Titus est toujours à droite, que par l’apparition d’un lituus ou d’une étoile dans le champ, les types de divinisation de Vespasien, représenté en majesté sur un aigle s’envolant. Dans ce groupe les sigma sont grecs.
Cette variante se caractérise par la présence de l’étoile derrière la nuque de Titus et par celle du T initial de Titus, au début de la légende du revers, le buste de Vespasien étant à gauche.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, trente deux exemplaires sont maintenant répertoriés ; nous ne prenons pas en compte tous les exemplaires cités par le RPC dans des trouvailles ou collections privées, non illustrées et qui ne discriminent pas les variantes de légendes. Les musées qui disposent d’un exemplaire sont Paris (2), Oxford (2), British Museum (2) et Fitzwilliam Museum.
Tout ce groupe au double portrait est du même style et se double de rarissimes aurei, du même graveur et style.
On a longtemps pensé, probablement par association avec Alexandrie, que cette série était dans un métal moins riche que les autres émissions : c’était une erreur, des analyses réalisées récemment à Orléans ont montré que leur métal était au moins aussi bon.
Sur un plan symbolique, cette série réserve encore de nombreuses énigmes, tant par les variations de droite à gauche du portrait de Vespasien, alors que Titus est toujours à droite, que par l’apparition d’un lituus ou d’une étoile dans le champ, les types de divinisation de Vespasien, représenté en majesté sur un aigle s’envolant. Dans ce groupe les sigma sont grecs.
Cette variante se caractérise par la présence de l’étoile derrière la nuque de Titus et par celle du T initial de Titus, au début de la légende du revers, le buste de Vespasien étant à gauche.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, trente deux exemplaires sont maintenant répertoriés ; nous ne prenons pas en compte tous les exemplaires cités par le RPC dans des trouvailles ou collections privées, non illustrées et qui ne discriminent pas les variantes de légendes. Les musées qui disposent d’un exemplaire sont Paris (2), Oxford (2), British Museum (2) et Fitzwilliam Museum.