bpv_141569 - NERO Tétradrachme syro-phénicien
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Preis : 75.00 €
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Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: an 9/ 111
Name der Münzstätte / Stadt : Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metall : Silber
Durchmesser : 24 mm
Stempelstellung : 12 h.
Gewicht : 14,07 g.
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Portrait caractéristique de cette année, bien centré mais sur un flan très court, comme très fréquemment, pratiquement plus de légendes
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Cet exemplaire, qui provient de la trouvaille dite de Banias, est le 0084_007de la base TSP
Vorderseite
Beschreibung Vorderseite Buste lauré de Néron jeune homme à droite avec l'égide sur le cou (O*4).
Legende des Averses NERWN KAISAR - SEBASTOU, (Nerwn Kaisaros Sebastou).
Übersetzung der Vorderseite (Néron césar auguste).
Rückseite
Beschreibung Rückseite Aigle debout à droite sur un foudre ailé, les ailes déployées ; dans le champ à droite, une palme verticale.
Legende des Reverses : [ETOUS] AIR . Q.
Übersetzung der Rückseite (An 9 du règne / An 111 de l’ère césarienne).
Kommentare
On constate, dès cette année, la neuvième du règne, l’adjonction d’un point dans le champ du revers et une permutation complète de celui-ci, l’aigle se tournant de gauche à droite et la palme passant de gauche à droite ; cette disposition restera la même pendant cinq ans. Peut-on en déduire un changement de titre ou de politique monétaire ? On semble avoir cherché à permettre de distinguer facilement les émissions du début du règne de celles qui suivirent.
Les portraits sont toujours naturalistes et sans vouloir prédire le visage qu’aura Néron à la fin de son règne, on voit déjà que le fils d’Agrippine s’empâte.
Cette variante de légende est rare et souvent difficilement lisible ; dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, seuls quinze exemplaires sont maintenant répertoriés. On note d’ailleurs qu’aucun exemplaire de cette variante n’est présent dans les collections nationales françaises.
Les portraits sont toujours naturalistes et sans vouloir prédire le visage qu’aura Néron à la fin de son règne, on voit déjà que le fils d’Agrippine s’empâte.
Cette variante de légende est rare et souvent difficilement lisible ; dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, seuls quinze exemplaires sont maintenant répertoriés. On note d’ailleurs qu’aucun exemplaire de cette variante n’est présent dans les collections nationales françaises.