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bpv_173668 - MACRINUS Tétradrachme syro-phénicien

MACRINUS Tétradrachme syro-phénicien fSS
Nicht verfügbar.
Artikel auf unserem Online-Shop verkauft
Preis : 140.00 €
Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: 217-218
Name der Münzstätte / Stadt : Beroea, Syrie, Cyrrhestica
Metall : Scheidemünze
Durchmesser : 24 mm
Stempelstellung : 6 h.
Gewicht : 13,74 g.
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Très faible usure, excellents centrage et surface, buste exceptionnel
N° im Nachschlagewerk :

Vorderseite


Beschreibung Vorderseite Buste de Macrin à droite, lauré, drapé et cuirassé, vu de trois-quarts en avant, les deux rubans derrière la tête (A*).
Legende des Averses AUT K. MA. OP... SE. MAKRINOS SE, (Autokratoros Kaisaros Markos Opellios Seuhros Makrinos Sebastos).
Übersetzung der Vorderseite (L’empereur césar Marc Opel Sévère Macrin auguste).

Rückseite


Beschreibung Rückseite Aigle debout à droite, les ailes déployées, la tête et la queue tournées à gauche, tenant dans son bec une couronne feuillée, dans le champ gauche une palme ; un griffon ailé de face entre les pattes, B - E dans le champ sous les pattes de l’aigle.
Legende des Reverses : DHMARC. EX. UPATOS D., (Dhmarcikhs Ex Ousias Upatos D).
Übersetzung der Rückseite (Revêtu de la puissance tribunitienne consul pour la quatrième fois).

Kommentare


La série des Macrins à Beroea est très particulière pour plusieurs raisons.
Tout d’abord, les frappes sont en quantités importantes, supérieures à celles de Caracalla, et une grande partie sont des hybrides de revers avec la série de Caracalla. Les exemplaires hybrides portant la marque du quatrième consulat sont si nombreux qu’il semble impossible que tant de coins de revers aient été préparés pour Caracalla. Il faut bien admettre que ces coins portant la mention d’un quatrième consulat furent bien frappés pour Macrin, ce d’autant plus qu’un type hybride de revers porte une palme dans le champ, ce qui n’est pas connu pour Caracalla. Enthousiasme mal placé du maitre de l’atelier, admirateur de Macrin ?
Le graveur de l’atelier ne change pas, sauf pour un type de Diaduménien, particulièrement rare, et le type de notre exemplaire qui sont d’un même graveur nouveau.
La série se divisant en deux par les graveurs (Macrin Prieur 889 et Diaduménien Prieur 897 pour le nouveau graveur, le reste pour celui déjà présent sous Caracalla), on doit remarquer que si les deux présentent des hybrides, seule la série au nouveau graveur présente la palme. Elle devrait se ranger chronologiquement en premier, la seconde présentant certains revers avec la légende PP (Père de la Patrie) qui n’est pas donnée immédiatement.
La fameuse palme que l’on trouve dans le champ de la première série de Macrin et de Diaduménien laisse perplexe : distinction accordée à la ville par Macrin ?
Si l’attribution de cette série à Beroea, l’antique Alep ou Halab, est certaine par les initiales BE dans le champ du revers, l’interprétation du symbole ne l’est pas, ni même sa lecture. Pour Henri Seyrig dans Antiquités Syriennes 84, le symbole représenterait un lion cornu et ailé vu de face mais les commentateurs le décrivent plutôt comme un griffon vu de face. Nous suivons cette interprétation car tous les lions symboliques sur les tétradrachmes syro-phéniciens sont représentés de profil et aisément identifiables. La statue cultuelle représentée ici devait être très particulière pour ne présenter que deux pattes. Les deux courbes sur la tête en plus des cornes et des ailes ne rappellent rien de particulier. On ne connaît pas encore de frappe de présentation pour la série, avec le revers complètement consacré au symbole, sans aigle, et il est probable que la découverte d’un exemplaire permettra une interprétation plus pertinente.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, soixante-huit exemplaires sont maintenant répertoriés. Notre exemplaire, qui provient de la trouvaille dite de Syrie 1930, est le 0889_005.

Historischer Hintergrund


MACRINUS

(11.04.217-08.06.218)

Macrin wurde 164 in Cherchell in Mauretanien geboren. Er ist kein Senator, sondern ein Ritter indigener (maurischer) Herkunft. Er war Prokurist der „res privata“ (privater Fonds des Kaisers) von Caracalla und wurde ab 212 Präfekt des Prätoriums. Nach der Ermordung Caracallas am 8. April 217 wurde er am 11. April zum Kaiser ernannt. Er wird nie nach Rom kommen und bleibt in Antiochia. Er vergöttert Caracalla, verbannt aber Julia Domna, die sich selbst sterben lässt. Er nimmt den Titel Severus an, um die Anhänger der Familie Severian um sich zu scharen, und übergibt das Pränomen des Antoninus an seinen Sohn Diadumenian, der zum Caesar befördert wurde. Während er versucht, alle zu versöhnen, stößt er auf die Armee, die Caracalla bedauert. In Emesa stationierte Soldaten proklamierten am 16. Mai 218 Elagabalus. Macrinus wurde im Juni besiegt und floh. Als er vom Tod Diaduméniens erfährt, versucht er Selbstmord zu begehen, indem er sich von seinem Streitwagen stürzt, und wird von seinen eigenen Soldaten erledigt..

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