bpv_153716 - ELAGABALUS Tétradrachme syro-phénicien
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Artikel auf unserem Online-Shop verkauft (2011)
Preis : 90.00 €
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Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: 218-220
Name der Münzstätte / Stadt : Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metall : Scheidemünze
Durchmesser : 26,00 mm
Stempelstellung : 6 h.
Gewicht : 14,69 g.
Seltenheitsgrad : R2
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Légère usure de circulation nette sur les lauriers et faiblesse de frappe au revers sur les pattes de l’aigle
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Cet exemplaire, qui provient du stock de la maison Stivin en 1983, est le 0255_006 de la base TSP
Vorderseite
Beschreibung Vorderseite Buste cuirassé (ptéryges bien visibles) et drapé d’Elagabal lauré à droite, les rubans de la couronne de lauriers flottant derrière la tête, vu de trois-quarts arrière.
Legende des Averses AUT K M A ... ANTwNEINOS SEB.
Übersetzung der Vorderseite Empereur César Marc Aurèle Antonin Auguste.
Rückseite
Beschreibung Rückseite Aigle debout à gauche sur une ligne de terre, les ailes déployées, la tête et queue à droite, tenant une couronne perlée de laurier dans son bec, une étoile à huit branches entre les pattes.
Legende des Reverses : DHMARC EX UPATOSTOB / .D. - .E..
Übersetzung der Rückseite (Puissance tribunitienne, consul pour la deuxième fois).
Kommentare
Ces revers d’un graveur bien particulier, quoique probablement au moins inspiré par le graveur de Macrin à Antioche, ont été classés par commodité avec les frappes au style de Carrhae, auxquelles ils semblent être mèlés par les coins de droit. Malheureusement, il reste énormément de travail de classification à faire sur ces séries.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, treize exemplaires sont maintenant répertoriés. Aucun exemplaire n’est répertorié en musée.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, treize exemplaires sont maintenant répertoriés. Aucun exemplaire n’est répertorié en musée.