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E-auction 148-87808 - fjt_309309 - DEUXIÈME RÉPUBLIQUE Denys Auguste Affre, archevêque et martyr 1848

DEUXIÈME RÉPUBLIQUE Denys Auguste Affre, archevêque et martyr SS
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KEINE ANSCHAFFUNGSKOSTEN FÜR DIE KÄUFER.
Schätzung : 15 €
Preis : 17 €
Höchstgebot : 17 €
Verkaufsende : 15 Februar 2016 19:08:00
Bieter : 4 Bieter
Type : Denys Auguste Affre, archevêque et martyr
Datum: 1848
Metall : Messing
Durchmesser : 22 mm
Stempelstellung : 12 h.
Rand lisse
Punze : sans poinçon
Seltenheitsgrad : R2

Vorderseite


Titulatur der Vorderseite MGNEUR AFFRE ARCHEVEQUE DE PARIS.
Beschreibung Vorderseite Son buste à droite.

Rückseite


Titulatur der Rückseite MORT POUR L’AMOUR DE DIEU ET DES FRANÇAIS LE 27 JUIN 1848.
Beschreibung Rückseite Entre deux palmes.

Kommentare


Cet archevêque eut un destin tragique, nous raconte wikipedia “ Pendant les insurrections de juin 1848, il crut que sa présence près des barricades pût être un moyen de ramener la paix. Il en fit part au général Louis Eugène Cavaignac, qui le mit en garde contre les dangers qu’il courrait. « Ma vie, répondit-il, a peu de valeur, je la risquerai volontiers. »
Le 25 juin, les tirs ayant cessé à sa demande, il apparut sur la barricade à l'entrée du Faubourg Saint-Antoine, accompagné par M. Albert, de la Garde Nationale, habillé comme un ouvrier et arborant une branche verte en signe de paix, et par Pierre Sellier, un domestique qui lui était dévoué. Ses deux vicaires généraux, Antoine Jaquemet et Jules Ravinet, futurs évêques de Nantes et de Troyes, sont également présents sur les lieux mais auraient été séparés de lui dans la confusion générale.
Il fut accueilli dans la stupeur, mais à peine eut-il prononcé quelques mots qu'un coup de feu (par accident ?) partit des lignes de la Garde nationale et relança les hostilités. L'archevêque fut touché par une balle perdue (sans qu'on ne sache avec certitude, aujourd'hui encore, de quel côté celle-ci provenait),"on a tout lieu de croire qu'il a été victime d'un accident, et non d'un assassinat", écrivait le National. On l'amena au presbytère de Saint-Antoine, et il fut ramené le lendemain au palais épiscopal, où il mourut le 27 juin, vers 4 h 30 du matin2. Ses dernières paroles furent une citation de l'Évangile de Jean suivie d'un appel à la paix : « Le bon pasteur donne sa vie pour ses brebis, que mon sang soit le dernier versé »3. Le lendemain l'Assemblée nationale vota l'hommage suivant : « L'Assemblée nationale regarde comme un devoir de proclamer sa religieuse reconnaissance et sa profonde douleur pour le dévouement et la mort saintement héroïque de Monseigneur l'archevêque de Paris.
Les obsèques officielles, le 7 juillet, furent un spectacle émouvant. Certaines biographies parlent de 200 000 personnes qui suivaient le cortège. Le cœur de l'archevêque fut placé dans une urne pour être gardé dans la chapelle des Carmes.
Pour le reste de sa biographie http://fr.wikipedia.org/wiki/Denys_Affre .

Historischer Hintergrund


DEUXIÈME RÉPUBLIQUE

(24.02.1848-02.12.1852)

Louis-Napoleon wurde am 10. Dezember 1848 zum ersten Präsidenten der Zweiten Republik gewählt. Er hatte nicht das Recht, 1852 erneut zu kandidieren. Louis-Napoleon beschloss, einen Putsch durchzuführen, der für den 2. Dezember 1851, den Jahrestag der Krönung des Adlers und das Gedenken an die Schlacht von Austerlitz, geplant war. Der Putsch wurde am 21. Dezember durch eine Volksabstimmung mit mehr als 7,5 Millionen Ja-Stimmen und nur 640.000 Nein-Stimmen ratifiziert. Victor Hugo ging am 12. Dezember ins Exil. Im folgenden Jahr wird er „Napoléon le Petit“ veröffentlichen, was Louis-Napoleon, der inzwischen Napoleon III. geworden ist, diesen berühmten Satz einbringen wird: „Napoleon le Petit von Victor le Grand“.

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