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bpv_305438 - CARACALLA Tétradrachme syro-phénicien

CARACALLA Tétradrachme syro-phénicien ST
Nicht verfügbar.
Artikel auf unserem Online-Shop verkauft (2014)
Preis : 750.00 €
Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: 214-215
Name der Münzstätte / Stadt : Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metall : Scheidemünze
Durchmesser : 25,00 mm
Stempelstellung : 12 h.
Gewicht : 14,20 g.
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Coins très frais, flan brillant, étonnante patine rose, bleu et orange, bon centrage sur flan légèrement ovale qui met le portrait en valeur, belle frappe, pas la moindre trace d’usure
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Cet exemplaire, qui provient des plateaux de Nomisma-Steindecker en février 1983, est le 0217_027 de la base TSP. Il illustre le type dans le Prieur

Vorderseite


Beschreibung Vorderseite Tête laurée de Caracalla à droite, avec une barbe fournie et une moustache tombante, l’un des rubans de la couronne de laurier passant sur l’épaule.
Legende des Averses AUT K. M. A.- .ANTWNEINOS S-EB (Autokrator Kaisar Markos Aurhlios Antwneinos Sebastos).
Übersetzung der Vorderseite (L’empereur césar Marc Aurèle Antonin auguste).

Rückseite


Beschreibung Rückseite Aigle à gauche, ailes écartées, tête et queue à droite, tenant un cuissot d’animal sacrificiel dans ses serres, souris à droite, et une couronne de lauriers dans son bec.
Legende des Reverses : DHMARC. EX. UPATO. D., (Dhmarcikhs Ex Ousias Upatos D).
Übersetzung der Rückseite (Revêtu de la puissance tribunitienne consul pour la quatrième fois).

Kommentare


Nous entrons avec cette émission - caractérisée par l’absence du Delta Eta au revers - dans les frappes massives de la préparation à la guerre parthique, voire aux débuts de la campagne. La qualité de gravure et de frappe est toujours bonne, voire très bonne, mais l’empereur commence à voir son portrait vieillir et les rides épaisses qui marquent son front sur cet exemplaire en sont une bonne illustration.
On peut raisonnablement penser que les graveurs ont voulu exprimer la personnalité autant que l’aspect réel - l’empereur n’a que 26 ans - en exagérant ces traits. On peut aussi penser que la vie de débauche dont son père avait essayé de l’extraire, par exemple en organisant une campagne un peu superflue en Bretagne, l’a profondément marqué.
Le rictus dédaigneux que l’on voit à l’empereur sur de nombreux exemplaires et qui accentue son aspect brutal semble être en réalité la pointe de la moustache que Caracalla portait apparemment tombante.
Ces émissions sont datées du quatrième consulat mais sont radicalement différentes, de style de revers et de style de portrait, de la première émission du quatrième consulat (Prieur 216), que nous avons laissée avec celles du troisième, dans le groupe des frappes aux deux étoiles.
Là encore, comme sous Domitien, dont les émissions, bien datées, permettent de juger des changements de graveurs, on constate que d’une année (Prieur 216) à l’autre (Prieur 217) nous ne trouvons plus le même graveur et pouvons supposer une réorganisation radicale. Cette réorganisation, si elle a permis une très forte augmentation de la production, n’a pourtant pas nécessité plus d’un graveur, l’homogénéité des exemplaires répertoriés est remarquable, à une poignée d’exceptions près. Là encore, on peut penser que l’organisation de l’atelier d’Antioche ne requérait pas un graveur inamovible mais, selon des méthodes qui nous resteront toujours inconnues, concours, fermage ou adjudication, l’attribution du poste, pour des durées variables, à des artistes différents.
On note que les sigma sont gravés en C.
À noter que Richard McAlee ne différencie pas les styles et variantes de légendes et regroupe les Prieur 217, 218 et 219 sous la référence 677
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, deux cent quatorze exemplaires sont maintenant répertoriés dont en musées ANS (10), Paris (10), Berne (2), Yale, Jérusalem (2), Israel State Museum (4) et Copenhague.

Historischer Hintergrund


CARACALLA

(27.05.196-08.04.217)

Augustus

Nach Getas Ermordung verfügte Caracalla die „damnatio memoriæ“ seines Bruders. Im Jahr 212 wurde die „Constitution Antoniniana“ verkündet. Alle Bewohner des Reiches wurden römische Bürger. Im folgenden Jahr unternahm er einen Feldzug in Germanien und errang viele Siege über die Deutschen, Iapygen und Goten. Er erhielt den Titel „Germanicus“. Das Ende der Herrschaft wurde im Jahr 215 durch die Währungsreform und die Gründung des Antoninianus markiert. Caracalla beginnt einen letzten Feldzug gegen die Parther. Er wird ermordet, nachdem er seine Vicennalia gefeiert hat.

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