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bpv_158444 - CARACALLA Tétradrachme syro-phénicien

CARACALLA Tétradrachme syro-phénicien fVZ
Nicht verfügbar.
Artikel auf unserem Online-Shop verkauft
Preis : 170.00 €
Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: 215-217
Name der Münzstätte / Stadt : Carrhae, Mésopotamie
Metall : Scheidemünze
Durchmesser : 26,5 mm
Stempelstellung : 12 h.
Gewicht : 11,53 g.
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Exemplaire de jolie qualité, bien centré avec de minimes traces d’usure. Problème de laminage devant le visage au droit, il semble que le métal ait joué
N° im Nachschlagewerk :

Vorderseite


Beschreibung Vorderseite Tête laurée de Caracalla à droite (O*).
Legende des Averses AUT K. M. A.- .ANTWNEINOS .S-EB (Autokratoros Kaisar Markos Aurhlios Antwneinos Sebastos).
Übersetzung der Vorderseite (L’empereur césar Marc Aurèle Antonin auguste).

Rückseite


Beschreibung Rückseite Aigle debout à droite, les ailes déployées, la tête tournée à droite, la queue à gauche, tenant dans son bec une couronne feuillue ; un bucrane entouré d’un point de chaque côté, entre les pattes de l’aigle qui appuie ses serres sur les longues cornes.
Legende des Reverses : DHMARC. EX. UPATO. D., (Dhmarcikhs Ex Ousias Upatos D).
Übersetzung der Rückseite (Revêtu de la puissance tribunitienne consul pour la quatrième fois).

Kommentare


Les émissions de Carrhae (également appelée Harran, d’un mot akkadien signifiant croisement, certainement de routes), sont importantes. La ville étant directement sur la ligne de front, le trésor militaire y avait besoin de fonds pour les troupes et la logistique.
Le plus intéressant de ces émissions est l’existence de deux séries distinctes dont l’interprétation est plus qu’intéressante car elle semble montrer que la ville était, de fait, dirigée et administrée par ses cultes principaux.
Les maigres renseignements disponibles indiquent un culte de Lunus, dieu mantique de la Lune mâle, qu’allait interroger Caracalla lorsqu’il fut assassiné. Les anciens suggèrent d’ailleurs que c’est la crainte de Macrin de voir ses complots dévoilés par le dieu qui précipitèrent le meutre. Ce dieu, de son nom sémitique Sin, avait un temple de la plus haute antiquité dans la ville. Son nom est mentionné entre autres dans des traités de paix entre mésopotamiens. Il fut pillé en 609 et restauré à trois reprises par les rois Salmanasar III, Assurbanipal et Nabonide et ne fut définitivement détruit qu’en 382 sur ordre de Théodose.
L’examen des symboles fait apparaitre d’une part un bucrane de face entouré de deux points (ces deux points ne sont pas décoratifs, ils représentent deux étoiles, certainement celles du soir et du matin), d’autre part un croissant pointes en haut avec deux ou trois points en exergue, un astre rayonnant au-dessus de l’aile gauche de l’aigle.
Systématiquement, les frappes au bucrane sont liées à des effigies de l’empereur laurées alors que celles au croissant sont liées à des effigies radiées. C’est un cas où, Indiscutablement, lauré ou radié a un sens que l’on ne peut attribuer à une fantaisie du graveur car l’examen des deux séries montre bien que le même graveur a réalisé les deux.
On peut supposer, du peu que l’on sait des cultes locaux, que les séries au bucrane relèvent du culte de Malakbel, dont le symbole était un taureau et qui gouvernait les étoiles du soir et du matin.
La série au croissant serait celle de Lunus, ou Sin, qui est souvent représenté sur les bronzes avec un croissant de lune pointes en haut. Il serait lui aussi lié aux étoiles du soir et du matin mais aussi à un astre rayonnant (le Soleil ? Ceci pourrait expliquer, dans un système hiérogamique, le choix de la couronne radiée pour l’avers).
La seule chose dont nous sommes certains est que nous sommes en présence de deux cultes différents mais liés.
Si nous considérons comme valide l’hypothèse de la frappe de ces tétradrachmes de 215 / 217 comme une taxe au profit du trésor militaire, nous pouvons en déduire que les deux pouvoirs financiers de la ville étaient ces deux cultes, donc que la ville était administrée par des clergés.
Pour une intéressnte histoire de la ville au travers des millénaires (Abraham y vécut !) voir http://www.livius.org/ha-hd/harran/harran.html .
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, cinquante-deux exemplaires sont maintenant répertoriés. Notre exemplaire, qui provient de la trouvaille Julia Hoard, est le 0820_040.

Historischer Hintergrund


CARACALLA

(27.05.196-08.04.217)

Augustus

Nach Getas Ermordung verfügte Caracalla die „damnatio memoriæ“ seines Bruders. Im Jahr 212 wurde die „Constitution Antoniniana“ verkündet. Alle Bewohner des Reiches wurden römische Bürger. Im folgenden Jahr unternahm er einen Feldzug in Germanien und errang viele Siege über die Deutschen, Iapygen und Goten. Er erhielt den Titel „Germanicus“. Das Ende der Herrschaft wurde im Jahr 215 durch die Währungsreform und die Gründung des Antoninianus markiert. Caracalla beginnt einen letzten Feldzug gegen die Parther. Er wird ermordet, nachdem er seine Vicennalia gefeiert hat.

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