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E-auction 192-123342 - fjt_417541 - BOURGOGNE (ÉTATS DE ...) Fin de la Fronde 1653

BOURGOGNE (ÉTATS DE ...) Fin de la Fronde SS
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KEINE ANSCHAFFUNGSKOSTEN FÜR DIE KÄUFER.
Schätzung : 18 €
Preis : 8 €
Höchstgebot : 10 €
Verkaufsende : 19 Dezember 2016 18:04:30
Bieter : 4 Bieter
Type : Fin de la Fronde
Datum: 1653
Metall : Kupfer
Durchmesser : 27 mm
Stempelstellung : 6 h.
Rand lisse
N° im Nachschlagewerk :

Vorderseite


Titulatur der Vorderseite * COMITIA * BVRGVNDIÆ *.
Beschreibung Vorderseite Armes de Bourgogne dans une couronne ; à l’exergue : .1653..
Übersetzung der Vorderseite (États de Bourgogne).

Rückseite


Titulatur der Rückseite .LIBERATORI. DEBITAM. REPENDO.
Beschreibung Rückseite La province de Bourgogne offre une couronne de laurier au jeune roi, à l’arrière une ville ; à l’exergue un fleuron.
Übersetzung der Rückseite J'offre à mon libérateur la couronne qui lui est due.

Kommentare


Les Frondeurs se réfugièrent une nouvelle fois à Seurre lorsqu’ils apprirent la libération du prince de Condé. Durant l’exil de celui-ci en Guyenne, la ville est prise par d’Épernon qui fait raser les fortifications. Le roi est présenté comme le libérateur de la province.
Les États de Bourgogne ont fait l'objet de plusieurs études : Rossignol en 1851 ; Preux dans l'ASFN en 1867 et Fontenay, Manuel de l'amateur de jetons, 1854 auquel nous empruntons de nombreuses descriptions de jetons ainsi que les commentaires suivants : "Les États de Bourgogne votaient les impôts, aides et subsides. La province réglait son administration économique dans des assemblées générales, et après les sessions, l'exécution des votes appartenait à des Élus généraux pris dans tous les rangs de la société et dont la conduite était censurée à chaque triennalité par des commissaires spéciaux et indépendants. Les Élus faisaient la répartition des impôts, et pour cela ils nommaient de droit tous leurs officiers, ordonnaient les constructions publiques et les réparations des grandes routes, réglaient la levée et la dépense des milices, opéraient la liquidation des étapes, l'adjudication des octrois sur la Saône et tenaient en leurs mains l'importante direction des crues sur le sel que l'on ne pouvait amener en Bourgogne sans leur approbation. Les habitants n'étaient point traduits hors de leur ressort. Les États avaient le droit de rembourser de leurs finances tout office à la charge du pays ; le roi ne pouvait en créer de nouveaux sans le consentement de la province, et moins encore disposer de la province sans son aveu. (...) Quelques mots suffiront pour donner une idée de l'organisation des États de Bourgogne. Ils se composaient des trois positions sociales ou des trois Ordres de la société, le Clergé, la Noblesse et le Tiers-État. Le premier représentait la sagesse, les lumières et la bonté ; le second, la force, la gloire et la grandeur ; le troisième, l'industrie, le commerce et l'agriculture. On ne pouvait trouver rien de plus juste et de plus complet. L'inégalité numérique des trois Ordres disparaissait au moment du vote : au moment solennel de la décision, il n'y avait que trois voix ; et celle du Tiers, qui eût été insignifiante si l'on avait compté par têtes, avait le pouvoir de faire pencher la balance du côté où elle voulait. La représentation des pouvoirs se complétait par la présence aux États des envoyés de Mgr le Duc et plus tard de ceux de Sa Majesté. L'Élu du premier avait pour mission de veiller d'une manière toute spéciale sur les intérêts de la couronne ducale et de l'édifier sur tout ce qui se passait dans l'administration des finances. Sous le régime monarchique, le roi s'appuyait encore sur le Parlement dont le président prenait la parole à l'ouverture des États pour soutenir les demandes de la couronne ; il avait de plus l'intendant et le gouverneur de la province ; puis la chambre des comptes dont les Maîtres étaient plus habitués que personne au maniement des jetons. Après une session d'un mois, l'assemblée générale laissait pour administrer le pays, pendant trois années, une petite assemblée ou Chambre des Élus généraux composée, comme elle, des éléments intéressés, c'est-à-dire appartenant aux trois Ordres. L'Élu du roi, deux députés de la chambre des comptes, le trésorier général et l'intendant de la province avaient droit d'y entrer pour la couronne, comme les deux secrétaires des États, mais sans voix délibérative. L'Élu de la Noblesse était seul électif ; ceux du Clergé et du Tiers arrivaient alternativement à la Chambre. L'Église fournissait tantôt un évêque, tantôt un abbé, tantôt un doyen de la province à tour de rôle. Le représentant du Tiers-État était successivement un maire de l'une des quatorze villes inscrites à la grande roue ; et par privilège, cet Ordre avait encore son président-né, le maire de Dijon. Les petites villes ainsi que les chanoines et les prieurs n'étaient pas privés de leur part de pouvoir, car c'est dans leur sein que se recrutait la majeure partie des Alcades. Les Alcades formaient un conseil de censure qui recherchait en outre les choses utiles à proposer au pays et surveillait les opérations de la grande roue. Ils composaient un conseil suprême pour protéger la province contre l'erreur, la négligence, le mauvais vouloir ou l'ambition de ses administrateurs. En somme, le grand conseil était jugé par le petit.

Historischer Hintergrund


BOURGOGNE (ÉTATS DE ...)

Die Stände von Burgund waren Gegenstand mehrerer Studien: Rossignol im Jahr 1851; Preux in der ASFN im Jahr 1867 und Fontenay, Manuel de l'amateur de tokens, 1854, aus dem wir viele Beschreibungen von Token sowie die folgenden Kommentare übernehmen: „Die Staaten von Burgund stimmten für Steuern, Hilfen und Subventionen. Die Provinz regelte ihre Wirtschaftsverwaltung in Generalversammlungen, und nach den Sitzungen oblag die Durchführung der Abstimmungen gewählten Generälen aus allen Reihen der Gesellschaft, deren Verhalten alle drei Jahre von besonderen und unabhängigen Kommissaren zensiert wurde.. Die Auserwählten sorgten für die Verteilung der Steuern, und dazu ernannten sie von Rechts wegen alle ihre Beamten, ordneten den öffentlichen Bau und die Reparatur der Hauptstraßen an, regelten die Aufstellung und Ausgaben der Milizen, führten die Liquidation der Stadien und die Rechtsprechung durch der Zuschüsse an der Saône und hielten in ihren Händen die wichtige Bewältigung der Überschwemmungen auf dem Salz, die ohne ihre Zustimmung nicht nach Burgund gebracht werden konnten. Die Einwohner wurden nicht außerhalb ihres Zuständigkeitsbereichs übersetzt. Die Staaten hatten das Recht, alle dem Land auferlegten Ämter aus ihren Finanzen zu erstatten; Der König konnte ohne Zustimmung der Provinz keine neuen schaffen, geschweige denn ohne deren Zustimmung über die Provinz verfügen. (. . . ) Ein paar Worte genügen, um einen Eindruck von der Organisation der Staaten Burgund zu vermitteln. Sie bestanden aus den drei gesellschaftlichen Stellungen bzw. den drei Gesellschaftsständen, dem Klerus, dem Adel und dem Dritten Stand. Das erste repräsentierte Weisheit, Erleuchtung und Freundlichkeit; das zweite: Stärke, Ruhm und Größe; der dritte, Industrie, Handel und Landwirtschaft. Etwas Gerechteres und Vollständigeres gibt es nicht. Die zahlenmäßige Ungleichheit der drei Orden verschwand zum Zeitpunkt der Abstimmung: Zum feierlichen Zeitpunkt der Entscheidung gab es nur drei Stimmen; und das des Dritten, das unbedeutend gewesen wäre, wenn wir nach Köpfen gezählt hätten, hatte die Macht, die Waage in die gewünschte Richtung zu kippen.. Die Vertretung der Befugnisse wurde durch die Anwesenheit der Gesandten des Herzogs und später der Gesandten Seiner Majestät in den Staaten vervollständigt. Die Auserwählten der ersten hatten die Aufgabe, in ganz besonderer Weise über die Interessen der herzoglichen Krone zu wachen und sie über alle Vorgänge in der Finanzverwaltung aufzuklären.. Unter dem monarchischen Regime verließ sich der König immer noch auf das Parlament, dessen Präsident bei der Eröffnung der Bundesstaaten sprach, um die Forderungen der Krone zu unterstützen; er hatte außerdem den Intendanten und den Gouverneur der Provinz; dann die Rechnungskammer, deren Meister mehr als jeder andere mit dem Umgang mit Wertmarken vertraut waren. Nach einer einmonatigen Sitzung überließ die Generalversammlung die Verwaltung des Landes für drei Jahre einer kleinen Versammlung oder Kammer gewählter Generäle, die sich ebenfalls aus den interessierten Elementen zusammensetzte, das heißt den drei Orden angehörte.. Der gewählte König, zwei Abgeordnete der Rechnungskammer, der Generalschatzmeister und der Intendant der Provinz hatten wie die beiden Staatssekretäre das Recht, für die Krone zu kandidieren, jedoch ohne beratende Stimme.. Der Elect of the Nobility war das einzige Wahlfach; diejenigen des Klerus und der Ränge kamen abwechselnd in die Kammer. Die Kirche stellte abwechselnd einen Bischof, manchmal einen Abt und manchmal einen Dekan der Provinz. Der Vertreter des Dritten Standes war nacheinander Bürgermeister einer der vierzehn im Riesenrad aufgeführten Städte; und privilegiert hatte dieser Orden immer noch seinen geborenen Präsidenten, den Bürgermeister von Dijon. Den Kleinstädten sowie den Domherren und Prioren wurde ihr Anteil an der Macht nicht entzogen, da in ihnen die meisten Alkaden rekrutiert wurden.. Die Alcades bildeten einen Zensurrat, der auch nach nützlichen Dingen suchte, die er dem Land anbieten konnte, und den Betrieb des Riesenrads überwachte.. Sie bildeten einen Obersten Rat, um die Provinz vor Fehlern, Nachlässigkeit, Böswilligkeit oder Ehrgeiz ihrer Verwalter zu schützen.. Kurz gesagt, der große Rat wurde vom kleinen beurteilt.

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