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bpv_308665 - PHILIPPUS I. ARABS Tétradrachme syro-phénicien

PHILIPPUS I. ARABS Tétradrachme syro-phénicien VZ
Nicht verfügbar.
Artikel auf unserem Online-Shop verkauft (2014)
Preis : 450.00 €
Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: 244
Name der Münzstätte / Stadt : Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metall : Scheidemünze
Durchmesser : 26,00 mm
Stempelstellung : 6 h.
Gewicht : 11,65 g.
Seltenheitsgrad : R3
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Portrait de toute beauté, léger décentré et plat de frappe au dessus de laigle
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Cet exemplaire, qui est celui qui illustre le type dans Coins of Roman Antioch de Richard McAlee et provient de sa collection, est le 0310B_004 de la base TSP

Vorderseite


Beschreibung Vorderseite Buste lauré, drapé et cuirassé de Philippe Ier à droite, vu de trois quarts en arrière (A*2).
Legende des Averses AUTOK K M IOUL FILIPPOU SEB, (Autokratoros Kaisaros Markos Ioulios Filippos Sebastos).
Übersetzung der Vorderseite (L’empereur césar Marc Jules Philippe auguste).

Rückseite


Titulatur der Rückseite S|C// MON VRB À L’EXERGUE // SIGMA MINUSCULE INVERSÉ DANS LE CHAMP.
Beschreibung Rückseite Aigle debout à droite, les ailes déployées, tête et queue à gauche, tenant une couronne feuillée dans son bec, sans ligne de terre.
Legende des Reverses : DHMARC - EX OUSIAS, (Dhmarcikhs Ex Ousias).
Übersetzung der Rückseite (Revêtu de la puissance tribunitienne/ Monnaie de la Ville / avec l’accord du Sénat).

Kommentare


Une variante de la sixième officine qui n’était pas connue lors de la rédaction du Prieur est la lettre d’officine minuscule et inversée. Elle est prise en compte dorénavant dans la base TSP sous la référence 310B (sachant que le 310A est affecté à la lettre d’officine en majuscule) et dans le Coins of Roman Antioch sous la référence 901(h) cet exemplaire illustrant le type.
Les premières émissions de Philippe se subdivisent en frappes sans marque d’officine et avec ligne de terre, frappes sans marque d’officine et sans ligne de terre, puis frappes avec marques d’officine et sans ligne de terre.
Notre exemplaire appartient à cette catégorie, pour la sixième officine (Sigma minuscule), où l’on remarque à quel point la graphie du S est proche de notre version majuscule. On notera l’existence de deux variantes non distinguées dans le Prieur, l’une avec le sigma en majuscule et l’autre avec cette lettre minuscule et inversée.
La question du lieu de frappe, au sens de fabrication et non de mise en circulation, a été tranchée par H. R. Baldus, Moneta Urbis - Antioxia, Francfort 1969, et il semble bien que ces monnaies ont été fabriquées à Rome, plutôt qu’à Antioche.
Le raisonnement de H.R. Baldus concernant cette émission de Philippe repose avant tout sur la signature de l’atelier au revers : dans le monde romain, l’Urbs, la Ville, ne peut être que Rome. Le cas n’est pas isolé et il a été déterminé, par exemple, que des tétradrachmes d’Alexandrie pour Sévère Alexandre avaient été frappés à Rome puis envoyés en Égypte ; on peut penser que des questions de prix de revient et de qualité de fabrication furent à l’origine de ces migrations.
Effectivement, les portraits de cette émission sont exceptionnellement bons, équivalents aux meilleurs sesterces de l’atelier de Rome.
Autre particularité de cette émission, le retour du SC, disparu des revers entre 242 et 244, après avoir remplacé à Antioche le Delta Eta apparu en 215, et jamais vu dans un autre atelier officiel. Si nous suivons la logique développée pour ces émissions, il faut croire que ces frappes de Philippe ont reçu l’assentiment (au moins) et le financement (au plus) du sénat d’Antioche. Une gigantesque rançon ayant été payée aux Perses pour abréger la guerre, le propre frère de Philippe étant gouverneur de Syrie, sa propre famille en étant originaire, on peut au moins penser que le Sénat regagna de son importance de l’époque des Sévères. La réputation de Priscus étant de pressurer la population - au point de susciter l’usurpateur Jotapian - on peut aussi penser que le produit de ces spoliations servit à frapper des tétradrachmes au portrait et donc à la gloire de l’Empereur.
On note que les sigma sont gravés en C, sauf celui de l’officine.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, six exemplaires sont maintenant répertoriés pour la sixième officine avec lettre d’officine inversée dont un seul en musée, à Yale ex Peus 282, 1973, 491.

Historischer Hintergrund


PHILIPPUS I. ARABS

(03/244-09/249)

Philippe wurde in Bostra in Trachonitis, einer Provinz Arabiens, geboren, daher der Spitzname des Kaisers. Nach dem Verschwinden von Timésithée, dem Schwiegervater von Gordian III., im Jahr 243 wurde er zum Präfekten des Prätoriums ernannt. Philipp ließ Gordian Anfang 244 ermorden oder ließ ihn ermorden und beeilte sich dann, einen berüchtigten Frieden mit den Sassaniden zu schließen . Er zahlt ihnen einen Tribut von 500.000 Denaren. Er nannte seinen Sohn Philipp Caesar im Jahr 244 und seine Frau Otacilia Sévéra Augusta. Im Jahr 247 erhebt Philipp seinen Sohn im August. Er führte einen brillanten Feldzug gegen die Quades und die Carpes, die in Dacia eingedrungen waren. Das große Ereignis der Herrschaft Philipps ist das Gedenken an das tausendjährige Jubiläum Roms, das am 21. April 247 beginnt. Am Ende der Herrschaft erklären sich mehrere Usurpatoren, darunter Jotapien und Pacatian, zum Augustus. Philippe beauftragt Decius, den Befehlshaber der pannonischen Legionen, die Ordnung an der Donau wiederherzustellen. Gegen seinen Willen proklamieren die Truppen Decius im Juni oder Juli 249 zum August. Philipp stirbt im Kampf gegen die Truppen von Decius im September 249.

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